Des spécialistes en urbanisme, géographie ou prévention des risques commentent les critères retenus par les services de l’État pour délimiter les zones vouées à la démolition

Les cartographies des « zones noires », présentées en fin de semaine dernière aux élus puis aux habitants de Vendée et de Charente-Maritime, n’en finissent pas de susciter de l’incompréhension.

Réalisées ces quatre dernières semaines par les administrations centrales et locales de l’État – ministère de l’écologie, directions départementales des territoires et de la mer (DDTM) –, elles se basent notamment sur des observations de terrain, des photographies aériennes et satellites, ainsi que l’analyse de plusieurs critères : topographie, hauteur d’eau, prise en compte de l’histoire, zones de protection et puissance de la vague.

S’agissant de la « topographie », cette donnée correspond à l’altitude des terrains, mesurée par des cotes NGF (nivellement général de la France). Ces dernières permettent de déterminer le niveau de « submersibilité » d’une surface, explique Isabelle Berger-Wagon, directrice d’un bureau d’études en urbanisme à La Rochelle (Charente-Maritime).

Cette prise en compte des différences topographiques pourrait en partie expliquer pourquoi certains terrains n’ayant pratiquement pas été inondés après Xynthia sont classés en zone noire. C’est notamment le cas du quartier des Caves, à L’Aiguillon-sur-Mer (Vendée ), dont une partie a été déclarée inhabitable. « Ces terrains sont plus bas que les autres. Ils sont à 2,50 mètres d’altitude, soulignait jeudi Alain Jacobsoone, directeur adjoint de la DDTM de Vendée.

« L’eau pouvait aussi venir du côté des terres, par les marais »

On comprend que, par rapport à Xynthia, l’impact n’a pas été forcément important. Mais dans dix ou trente ans, ces terrains pourraient être concernés par une arrivée d’eau importante. » « Une altitude de 2,50 mètres, c’est effectivement très faible », commente Isabelle Berger-Wagon.

Par ailleurs, lors de la présentation des zones noires, les élus de L’Aiguillon voulaient savoir pourquoi le centre-bourg, inondé en plus grande quantité que les Caves, n’avait pas été classé en zone noire : il leur a été rétorqué que cette inondation était considérée comme ponctuelle et que l’eau était partie très vite.

« Cette réponse me fait penser à la notion d’épandage des crues, commente Isabelle Berger-Wagon. Lors d’une inondation, l’eau s’étale. Mais quand tout est construit autour, elle ne peut plus s’étaler. Pour s’en rendre compte, il faut remplir une assiette d’eau. Quand on pose des sucres dedans, l’eau monte. »

Second critère avancé par le préfet : la hauteur d’eau constatée après Xynthia. « C’est un critère classique, observe Bruno Ledoux, consultant en prévention du risque inondation. On a l’habitude de qualifier le risque ou l’aléa en fonction de paramètres hydrauliques. » Le raisonnement peut se faire à partir d’une hauteur d’eau observée ou sur différents événements pouvant amener de l’eau, qu’elle vienne de la mer ou de la rivière.

Or, les experts ont insisté sur le fait que Xynthia n’était pas la seule référence mais que leurs analyses s’appuyaient sur tout autre phénomène météorologique de même ampleur. « Les services de l’État nous ont indiqué que l’eau pouvait aussi venir du côté des terres, par les marais, et pas seulement directement de la mer », confie une élue de L’Aiguillon-sur-Mer.

Un plan de destruction d’une ampleur inédite

Autre critère, la prise en compte de l’histoire. Les tempêtes de 1871, 1940 et 1941 ont notamment été évoquées. « C’est un critère courant en matière d’analyse du risque », note Bruno Ledoux. Le maire de Charron, Jean-François Faget, affirme que deux autres critères lui ont été présentés lors de son entretien avec le préfet de Charente-Maritime : la puissance de la vague lors de Xynthia et la possibilité ou non de se protéger par des zones ou des niveaux de refuge. D’après Bruno Ledoux, cette liste de critères n’est « pas choquante sur le principe ». « C’est au cas par cas qu’il faudra l’expliciter et être transparent, car l’État le doit à chaque propriétaire », dit-il.

Reste qu’un plan de destruction de plus de 1 000 maisons se révèle inédit par son ampleur. « C’est du jamais-vu, reconnaît le consultant. Mais le gouvernement est plutôt courageux car il serait malvenu d’autoriser les gens à revenir sur place. »

Pour Denis Mercier, maître de conférences en géographie physique à l’université de Nantes, la naissance du concept de zone noire pose toutefois question : « Va-t-on définir de nouvelles zones noires à titre préventif dans d’autres départements de France ou va-t-on attendre une nouvelle catastrophe pour le faire ? »

Son collègue Paul Fattal, directeur de l’Institut de géographie de Nantes, estime qu’il faut poser le problème à l’échelle nationale et pas seulement locale. « C’est à la société dans son ensemble de réfléchir. Sinon, on va continuer d’agir à coups de sparadrap sans vision globale des choses. » Contactés par La Croix, les préfectures et services centraux de l’État n’ont pas souhaité répondre à nos questions sur l’élaboration des zones noires.

12 réponses à to “En Vendée et en Charente-Maritime, la définition des « zones noires » suscite de multiples questions (La Croix)”

  • hks says:

    chère Julie

    Merci de revenir sur mon idée ( somme toute banale )

    Bien sur qu’il faut refermer à la pointe d’ Arcay .Sinon à quoi ça sert ?

    A la fin de la digue je mets ce qui est en place, c est à dire les dunes .

    Je referme une digue à un niveau ou les dunes sont élevées .( et elles le sont au niveau des parc à huitres ,la topographie indique 7 metres )

    Il faut pénétrer la réserve forestière .
    …………………………………………………..
    PS
    si vous voulez mon e mail passez par Patrick Delavaud .. voir son blog http://stoff73.canalblog.com/

  • hks says:

    à Loutron

    «  » » » »(et nous sommes en phase de remontée du niveau marin). » » » » »
    Je ne le nie pas .Je subalterne .

    …………………………………….

    Je suis d’accord avec beaucoup de vos remarques .
    Je ne suis pas partisan du tout d’ une urbanisation inconsidérée du littoral .Je ne suis pas non plus d’ une frilosité excessive .

    je suis né dans ce pays (entre Luçon et la mer). Il y a eu enrichissement, progrès modernisation de ce pays , le tourisme a été un moteur . Je ne vais donc pas dénigrer le tourisme .
    Depuis une trentaine d’années , l’ agriculture s’ est développée dans ce marais et c’est un bien .

    je le dis car je sens pointer une critique de la pertinence du maintien de terres agricoles en zones submersibles .
    ………………………….

    je n’exagère pas plus que vous même quand vous critiquez en priorité les digues .

    J ‘attends des propositions de votre part .( sur ce fil ou plus haut , je lis tous les messages du blog )

    hks

  • Jacques Ghémard says:

    « Si des digues insuffisantes ont permis d’endormir la conscience des gens, qu’en sera-t-il une fois qu’on les aura renforcées ? »

    Il faut que la législation permette aux consciences de rester éveillées.

    Si chaque maison a l’obligation de s’équiper de moyens de sauvetages inspectés régulièrement, la conscience du danger persistera.

  • Loutron says:

    hks a dit :
    12 avril 2010 à 14 h 41 min

    >> (et nous sommes en phase de remontée du niveau marin). Ce n’est pas à l’ordre du jour ( désolé )

    C’est moi qui suis désolé de lire ça ! Car cette phase de remontée est certifiée par un ensemble régulier d’observation par marégraphes et par satellites. N’en faites donc pas une question idéologique.

    >> Il peut se produire un tsunami par séisme ou la chute d’un astéroïde dans l’ atlantique ….ou jamais plus une conjonction Xynthia.

    Là, je crois que vous dérapez, hélas. Sans allez chercher d’élément du type « fin du monde », il suffira d’une conjonction somme toute classique : fort coefficient de marée, tempête et dépression barométrique, forte houle bien orientée…

    >> Une grande part du drame tient à ce qu’à La Faute spécialement, on a mis dans la tête des gens qu’ils étaient « à l’abri » des digues.
    >> Encore eut- il fallu qu’il exista de telles digues .

    >> Proposez d’ autres solutions mais ne critiquez pas les digues avant qu’elles ne soient remontées . Si ma maison n’a pas été inondée c’est grâce à la digue en terre bordant le Lay côté la faute en amont du pont.

    Si des digues insuffisantes ont permis d’endormir la conscience des gens, qu’en sera-t-il une fois qu’on les aura renforcées ? A voir les réactions ambiantes, personne ne voudra entendre parler de l’existence d’un risque ?
    Et ce n’est pas parce que l’inondation a frappé cette fois-ci à l’aval que l’amont n’en souffrira pas une autre fois, hélas.

    >> (connaissez vous exactement et précisément la situation de ces quartiers de la faute )

    Sans prétendre tout connaître parfaitement, je connais les lieux, indubitablement.

    >> et bref de « tous les spécialistes s’accordent »
    N’importe qui sait que les digues ce n’est pas la solution à 100%
    La solution à 100% c’est d ‘ aller s’installer ailleurs .. dans les Alpes

    Là, décidément, vous exagérez 😉 !

    Bien à vous,
    Loutron

  • Jacques Ghémard says:

    http://hgv85.free.fr/spip/IMG/pdf/risque_inondation_vendee.pdf

    Vous pouvez vois sur ce document que Saint Michel en l’Herm n’est pas considéré comme une zone à risque d’inondation « terrestre » donc l’inondation ne viendra pas de rivières inondant ce marais qui lui même déborderait sur l’aiguillon.

    Les crues des fleuves côtiers ne menacent pas leurs embouchures dont le niveau ne dépend que de la mer qui est un volume énorme par rapport à un « pipi de chat »

    Les crues du Lay (tout comme les crue des la Sèvre niortaise et de la Vendée) menacent les villages plus en arrière, notamment Mareuil (ou Fontenay le comte)

    Concernant La Faute, je suppose que la zone à risque pour ce type d’inondations, doit concerner un possible retour du Lay vers son lit initial qui le ferait de jeter directement dans la mer en oubliant de prendre son dernier virage. Et dans ce cas, je ne sais pas ce qui serait inondé.

    http://www.lafautesurmer.net/wp-content/uploads/2010/03/7665.pdf

    Pas très bavarde la dessus cette petite plaquette.

  • JULIE says:

    HKS, que mettez-vous au bout de la digue vers l’estuaire? l’eau semble etre rentrée par là en premier. devra-t-on entourer tout la pointe d’Arçay pour être en sécurité?

  • hks says:

    à Loutron

    «  » » »(et nous sommes en phase de remontée du niveau marin). » » » »

    Ce n’est pas à l’ordre du jour ( désolé )

    Vous tenez sur la position écologiste mais je dirais « écologiste pessimiste », ce qui conduit à des positions minimalistes en termes de protections classiques ( digues ).
    Il peut se produire un tsunami par séisme ou la chute d’un astéroïde dans l’ atlantique ….ou jamais plus une conjonction Xynthia .
    Pour cette conjonction hypothétique nous avons les moyens meteo de l’ anticiper.

    ………………………………………………

    «  » »Une grande part du drame tient à ce qu’à La Faute spécialement, on a mis dans la tête des gens qu’ils étaient « à l’abri » des digues. » » » »

    Encore eut- il fallu qu’il exista de telles digues .

    Proposez d’ autres solutions mais ne critiquez pas les digues avant qu’elles ne soient remontées . Si ma maison n’a pas été inondée c’est grâce à la digue en terre bordant le Lay côté la faute en amont du pont .

    ( connaissez vous exactement et précisément la situation de ces quartiers de la faute )
    …………………………….

    et bref de «  » »tous les spécialistes s’accordent » » »
    N’importe qui sait que les digues ce n’est pas la solution à 100%
    La solution à 100% c’est d ‘ aller s’installer ailleurs .. dans les Alpes .

    bien à vous
    hks

  • Loutron says:

    Il est probable que le jour (imprévisible) où une autre conjonction de type Xynthia se produira – avec l’éventualité d’une aggravation de certains facteurs – des secteurs actuellement habités, autres que celui des Amourettes, seront inondés. Il faut en avoir conscience. Il y a notamment une très grande fragilité du côté de la Belle-Henriette. Et le Lay n’est jamais loin… En ce sens, j’ai l’impression que la définition des actuelles « zones noires » est minimaliste (mais il semble qu’elle devrait être complétée par des « zones orange », non encore publiées, et que PPRI va être renforcé).
    Ce qu’il faut absolument intégrer, c’est que l’idée de « protéger » au moyen de digues est en grande partie une illusion ; tous les spécialistes s’accordent pour dire que tout ouvrage de protection pourra être dépassé lors d’événements extrêmes (et nous sommes en phase de remontée du niveau marin). Malheureusement, je constate que beaucoup de gens qui s’expriment rejettent cette notion du risque. Une grande part du drame tient à ce qu’à La Faute spécialement, on a mis dans la tête des gens qu’ils étaient « à l’abri » des digues.

  • hks says:

    Cher Loutron

    Ce que vous dîtes est vrai .
    La faute est inscrite au niveau 1 pour les crues du Lay ( dues à la pluviométrie )

    http://docs.google.com/viewer?a=v&q=cache:A5NIsHfrnFwJ:hgv85.free.fr/spip/IMG/pdf/risque_inondation_vendee.pdf+le+lay+crue&hl=fr&gl=fr&pid=bl&srcid=ADGEESgENmZ-eD3jMEtj0H0Rc9eQj75awV_2BuOLu8sXmBrtDmQKwhdAzCZiWG1UvxxmMz8gfGtA7KDwJuqnkFxB8GBp73liEp1wCVDR3wxsMRHzE3vCZ4pCjZ_i0ZM27gnfyEcXytEC&sig=AHIEtbQiLihcp4HB6Zje4g9xqwOiCUGaVg

    Effectivement la conjonction aurait été fatale ( à presque toute la faute ) mais la crue du Lay aurait été anticipé et espérons que le plan ORSEC aurait fonctionné alors que là aucun plan d’ urgence n’a fonctionné .
    La population se serait réfugiée sur les hauteurs ( les dunes )ou aurait fuit par l aiguillon ….que sais du plan ORSEC en cas de crues du Lay .
    Espérons sur une mise à jour des plans d’ urgence car en tout état de cause la région est dangereuse .
    IL FAUT DONC VIVRE AVEC LA CONSCIENCE DU DANGER .
    …………………………………………………

    Ces considérations ont certes à voir avec le tracé éventuel de zones noires .
    Mais deux éventualités :
    1)Ou bien on protège toute la faute par une digue ( ou des canaux/ bassins d’ évacuation du Lay en crue )
    2)ou bien si ont suit la logique des crues dues à la pluie ou à la marée on doit interdire à l’ habitat les trois quarts de la faute .
    ( donc BEAUCOUP PLUS que les zones noires… ce que personne n’ envisage sérieusement et pour cause )
    Luçon avait un Port, lequel a été comblé veut on avoir la mer jusqu ‘à Luçon ?

    ………………………………

    si on veut être cohérent
    il y a en zones inhabitable

    1) la partie que personne ne conteste ,celle du relais des amourettes

    2)pour le reste soit environ 300 maisons ,c’est incohérent .( du moins à voir dans le détail et pas à la louche

  • Loutron says:

    Jacques Ghémard a dit :
    « Si les marais sont inondés, c’est par la mer ».

    C’est grosso modo vrai pour votre secteur des marais desséchés de la bordure de la baie de l’Aiguillon, que l’on appelle communément « le sud des îles » (Champagné, Sainte-Radégonde, Puyravault, Chaillé) ; mais ce n’est pas généralisable.
    Dans le bassin de Lay, à l’extrémité sud duquel se situent les communes de l’Aiguillon et de La Faute-sur-Mer, le fleuve est susceptible de provoquer de grandes inondations dans les périodes où son bassin versant est saturé par la pluviométrie.
    A ce propos, c’est une chance que l’épisode Xynthia n’ait pas coïncidé avec une crue du Lay : l’évènement eut alors été encore plus catastrophique, avec probablement beaucoup plus de morts.
    Pour résumer, ces deux communes sont doublement menacées, par les eaux continentales et par les eaux marines. Ce n’est pas d’aujourd’hui, et il y a eu par le passé bien des submersions/inondations. La différence, c’est que l’urbanisation intervenue depuis 20 à 30 ans a implanté des habitations dans des endroits où il n’y en avait jamais eu auparavant…

  • Jacques Ghémard says:

    « Les services de l’État nous ont indiqué que l’eau pouvait aussi venir du côté des terres, par les marais, et pas seulement directement de la mer », confie une élue de L’Aiguillon-sur-Mer. »

    Trop drôle ! Et cette eau venant des marais, elle sortirait d’où ? Du sol ?

    Si les marais sont inondés, c’est par la mer. Et donc oui, il faut que toutes les digues tiennent et pas seulement celle du sud mais tout le pourtour de la baie. Et il faut que les écluses soient suffisamment hautes. Mais ces digues sont entretenues pour la culture et les milliers d’habitants qu’elles protègent aussi sont sous représentés dans les « syndicats de marais ». Ca se passe sans eux, sans qu’ils soient informés et sans interlocuteurs à alerter. Dans ces syndicats, c’est pas le nombre de vies à protéger qui compte, c’est le nombre d’hectares possédés.

    Il faudrait enfin que ces évènement fassent prendre conscience que ces digues sont d’utilités publiques et doivent être traitées sérieusement.

    A Sainte Radegonde, les portes du canal de Vienne, du Clain et des Cinq Abbés ont été refaites récemment. Pas de bol, c’est passé par au dessus. Leur hauteur, datant probablement de plusieurs siècles, ne suffit plus (la mer est monté 20 cm en un siècle)

    Et en de nombreux endroits, des digues étaient plus basses qu’ailleurs ou bien il existait des brèches pour le passages des véhicules et autres engins agricoles.

  • Jacques Ghémard says:

    « Contactés par La Croix, les préfectures et services centraux de l’État n’ont pas souhaité répondre à nos questions sur l’élaboration des zones noires. »

    S’ils ne justifient pas leur définition des zones rapidement, on est vraiment dans le n’importe quoi !

    Depuis quand des experts sortent leur décision de leur chapeau sans daigner les expliquer ?

    A-t-on interdit la navigation après le naufrage du Titanic ?

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