Lefigaro.fr
16/04/2010 | Mise à jour : 09:09 Réactions (9)
Ségolène Royal a une nouvelle fois attaqué ce matin le plan de zonage défini par l’Etat en Charent-Maritine et en Vendée, après le passage de la tempête Xynthia. « Nous avons subi une catastrophe terrible, un désarroi considérable […]. Un deuxième coup nous est arrivé sur la tête avec ce zonage décidé de manière unilatérale », a déclaré la présidente PS de la région Poitou-Charentes. Selon elle, « il faut respecter les gens qui sont dans la souffrance […]. Ce qu’il faut maintenant, c’est suspendre ce plan de zonage ».

Après la visite sur le terrain de Jean-Louis Borloo, Ségolène Royal a reconnu que la situation avait « bougé ». « Nous nous en plaignons pas », a-t-elle dit. Mais « il faut engager les travaux sur les digues, monsieur Borloo n’en a pas parlé ; l’Etat n’a pas entretenu les digues, nous demandons que ces travaux puissent commencer », a-t-elle nuancé. « Le problème reste entier, il y a eu une parole d’apaisement, ce qui est déjà pas mal. Il faut franchir l’étape suivante, la suspension du zonage, l’ouverture de discussions et d’expertises contradictoires », a jugé Ségolène Royal.

24 réponses à to “Xynthia: « suspendre le plan » (Royal) (Le Figaro)”

  • Rob says:

    Interview de Benoit Apparu, secrétaire d’état au logement :

    http://www.liberation.fr/politiques/1201281-xynthia-le-gouvernement-va-t-il-revoir-le-dossier-des-zones-noires

    extrait :

    « Il y a trois critères qui nous ont permis de délimiter la zone noire. Critère numéro 1, un mètre d’eau dans le maison; critère numéro 2, puissance et rapidité de la submersion; critère numéro 3, y a t-il une protection possible de la zone en question, par une digue ou d’autres moyens? Ces trois critères sont bien évidemment cumulatifs. »

    une submersion de 12 cm (quand bien même serait-elle rapide et puissante) vaudrait-elle à une maison d’être rasée purement et simplement ?

  • Joe says:

    à JL et Jacques Ghémard

    j ai revue les photos de Valéry Joncheray( le surlendemain .. ou le jour même?)
    Effectivement à la pointe de l’Aiguillon les maisons ne sont toutes pas submergées comme au doris
    L’eau avait la possibilité de s ‘étaler sur le marais .
    On voit quand même une exploitation agricole bien submergée elle (photo 51)

    C’est donc maison par maison qu’il faudrait juger et pas par zonage .

    15 cm ça ne suffit pas pour raser une maison .
    …………………………………………………………………..

    Sur «  »sécurité totale » » bon !d’accord ! avec votre petit chambrage .

    «  » » »Donc oublions la sécurité totale et cherchons simplement à connaitre les risques et à les mettre à un niveau raisonnable. » » » » »

    hks

  • Daniel says:

    Utilisation du système d’information géographique (SIG, désigné encore
    par l’expression cartographie numérique )pour la classification
    des zones inondables.
    Ci-dessous réflexions mises par erreur à la rubrique « Plan du site »

    Le classement des zones inondables est sans doute fondé sur l’emploi d’un outil
    informatique, le SIG (système d’information géographique. Malheureusement le système d’information géographique (SIG) est un outil qui superpose « des choix, des arbitrages et des simplifications » qui passent à la trappe au profit de vérités d’experts, censés sur le terrain détenir le monopole dans l’usage et l’interprétation dudit outil. Gilles Kleitz nous montre ainsi « comment le système d’information géographique présenté comme une aide à la décision réduit des données empiriques hétérogènes à un seul plan de représentation gestionnaire, avec comme seul mode opératoire une dépolitisation de chaque représentation et comme résultat la possibilité de décisions effectives, prises en bureau, loin des arênes politiques » Extraits de Gilles KLEITZ, « L’espace comme technologie politique pour la conservation de la biodiversité . SIG et planification négociée en milieu rural », Conservation de la nature et développement : l’intégration impossible ?, Paris, Karthala, Collection « Economie et développement », 2003.
    TRADUISONS:
    En ne permettant pas de discuter un classement effectué à l’aide de cet outil et
    en ne prenant nullement en compte les multiples situations particulières l’autorité préfectorale prend une décision arbitraire et permet aux responsables
    politiques de se défausser de leurs responsabilités. De la même manières que des
    programmes informatiques ont pu être mis en cause (à juste titre) dans le déclenchement de krachs boursiers, ici des maisons seront détruites sans débats
    contradictoires au nom d’une vérité qui n’est même pas celle d’experts dignes
    de ce nom (qui se seraient déplacés sur le terrain, mais d’experts qui interprètent en fonction du « politiquement correct » ce qu’ils lisent sur leur écran.
    Madame Royal a raison, mais il faudrait pour éviter toute déconvenue, une
    communication forte des élus, des avocats des familles, sur la question
    que je vous soumets. Demander au moins communication des outils
    informatiques utilisés et une contre expertise par des spécialistes.
    En espérant que cette réflexion puisse être utile à toutes celles et ceux
    qui sont directement concernés!

    AJOUT:
    Dans une thèse soutenue en 1997 à l’Ecole Polytechnique de Lausanne et traitant de la procédure allant des SIG vers l’analyse multicritères (exactement ce que décrit l’article de l’AFP sur la définition des zones figurant sur ce site) on
    peut lire ceci:
    « Les parties de territoire qui présentent des caractéristiques semblables peuvent être regroupées pour former des zones homogènes. Cet ensemble de zones homogènes
    constitue l’ensemble des actions qui est en suite traité par analyse multicritères.
    La formation de zones homogènes est réalisée grâce à l’utilisation d’un indice d’homogènéité. Une zone est dite homogène si toutes les surfaces élémentaires qui la constituent « ressemblent » aux caractéristiques moyennes de la zone. La notion de ressemblance est subjective. Elle est définie par le décideur en choisissant pour chaque critère un seuil d’indifférence (différence négligeable), de différence stricte (différence considérable mais acceptable)et un seuil de veto (différence inacceptable. »
    Peut être serait-il opportun de suggérer à Madame Lepage de regarder comment
    ces outils d’aide à la décision ont été utilisés dans ce cas précis.

  • Daniel Dufourt says:

    Utilisation du système d’information géographique (SIG, désigné encore
    par l’expression cartographie numérique )pour la classification
    des zones inondables.
    Ci-dessous réflexions mises par erreur à la rubrique « Plan du site »

    Le classement des zones inondables est sans doute fondé sur l’emploi d’un outil
    informatique, le SIG (système d’information géographique. Malheureusement le système d’information géographique (SIG) est un outil qui superpose « des choix, des arbitrages et des simplifications » qui passent à la trappe au profit de vérités d’experts, censés sur le terrain détenir le monopole dans l’usage et l’interprétation dudit outil. Gilles Kleitz nous montre ainsi « comment le système d’information géographique présenté comme une aide à la décision réduit des données empiriques hétérogènes à un seul plan de représentation gestionnaire, avec comme seul mode opératoire une dépolitisation de chaque représentation et comme résultat la possibilité de décisions effectives, prises en bureau, loin des arênes politiques » Extraits de Gilles KLEITZ, « L’espace comme technologie politique pour la conservation de la biodiversité . SIG et planification négociée en milieu rural », Conservation de la nature et développement : l’intégration impossible ?, Paris, Karthala, Collection « Economie et développement », 2003.
    TRADUISONS:
    En ne permettant pas de discuter un classement effectué à l’aide de cet outil et
    en ne prenant nullement en compte les multiples situations particulières l’autorité préfectorale prend une décision arbitraire et permet aux responsables
    politiques de se défausser de leurs responsabilités. De la même manières que des
    programmes informatiques ont pu être mis en cause (à juste titre) dans le déclenchement de krachs boursiers, ici des maisons seront détruites sans débats
    contradictoires au nom d’une vérité qui n’est même pas celle d’experts dignes
    de ce nom (qui se seraient déplacés sur le terrain, mais d’experts qui interprètent en fonction du « politiquement correct » ce qu’ils lisent sur leur écran.
    Madame Royal a raison, mais il faudrait pour éviter toute déconvenue, une
    communication forte des élus, des avocats des familles, sur la question
    que je vous soumets. Demander au moins communication des outils
    informatiques utilisés et une contre expertise par des spécialistes.
    En espérant que cette réflexion puisse être utile à toutes celles et ceux
    qui sont directement concernés!

    AJOUT:
    Dans une thèse soutenue en 1997 à l’Ecole Polytechnique de Lausanne et traitant de la procédure allant des SIG vers l’analyse multicritères (exactement ce que décrit l’article de l’AFP sur la définition des zones figurant sur ce site) on
    peut lire ceci:
    « Les parties de territoire qui présentent des caractéristiques semblables peuvent être regroupées pour former des zones homogènes. Cet ensemble de zones homogènes
    constitue l’ensemble des actions qui est en suite traité par analyse multicritères.
    La formation de zones homogènes est réalisée grâce à l’utilisation d’un indice d’homogènéité. Une zone est dite homogène si toutes les surfaces élémentaires qui la constituent « ressemblent » aux caractéristiques moyennes de la zone. La notion de ressemblance est subjective. Elle est définie par le décideur en choisissant pour chaque critère un seuil d’indifférence (différence négligeable), de différence stricte (différence considérable mais acceptable)et un seuil de veto (différence inacceptable. »
    Peut être serait-il opportun de suggérer à Madame Lepage de regarder comment
    ces outils d’aide à la décision ont été utilisés dans ce cas précis.

  • Jacques Ghémard says:

    Je viens de découvrir le blog de ceux d’en face

    http://marcus-retais.blogspot.com/

    Et grâce à lui ce rapport du BRGM (Bureau de recherche géologique et minière) sur Xynthia et ses effets sur le littoral.

    http://www.brgm.fr/publication/pubDetailRapportSP.jsp?id=RSP-BRGM/RP-58261-FR

    ***

    Maryline, à mon humble avis une subversion de 12 cm ne justifie pas de raser votre maison si vous êtes capables de répondre à la question suivante : pensez vous être capable de sauver votre vie et celle de ceux qui seront dans votre maison si la prochaine fois il y a un mètre de plus ?

    Et personnellement je répondrais oui. Aucune maison ne s’est effondré à cause d’un mètre d’eau et j’ai un étage ou me réfugier. Si je n’avais pas d’étage, j’en ferais un, petit, en bois, accroché dans la charpente avec un escalier hélicoïdal pour y accéder rapidement.

    Donc pour votre vie, vous êtes capables de la protéger, probablement, et pour vos bien vous devriez pouvoir compter sur l’état pour les protéger par des digues et une surveillance de ces digues. Et de toute façon, on ne protège pas des biens en les rasants au bulldozer.

  • Maryline says:

    Jean-Louis Borloo (encore à l’eau claire) nous annonce cette fois que l’on va tous être extradés.

    http://fr.news.yahoo.com/4/20100415/tts-france-xynthia-ca02f96.html

  • Maryline says:

    Interview de Benoit Apparu, secrétaire d’état au logement :

    http://www.liberation.fr/politiques/1201281-xynthia-le-gouvernement-va-t-il-revoir-le-dossier-des-zones-noires

    extrait :

    « Il y a trois critères qui nous ont permis de délimiter la zone noire. Critère numéro 1, un mètre d’eau dans le maison; critère numéro 2, puissance et rapidité de la submersion; critère numéro 3, y a t-il une protection possible de la zone en question, par une digue ou d’autres moyens? Ces trois critères sont bien évidemment cumulatifs. »

    une submersion de 12 cm (quand bien même serait-elle rapide et puissante) vaudrait-elle à une maison d’être rasée purement et simplement ?

  • hks says:

    à JL et Jacques Ghémard

    j ai revue les photos de Valéry Joncheray( le surlendemain .. ou le jour même?)
    Effectivement à la pointe de l’Aiguillon les maisons ne sont toutes pas submergées comme au doris
    L’eau avait la possibilité de s ‘étaler sur le marais .
    On voit quand même une exploitation agricole bien submergée elle (photo 51)

    C’est donc maison par maison qu’il faudrait juger et pas par zonage .

    15 cm ça ne suffit pas pour raser une maison .
    …………………………………………………………………..

    Sur «  »sécurité totale » » bon !d’accord ! avec votre petit chambrage .

    «  » » »Donc oublions la sécurité totale et cherchons simplement à connaitre les risques et à les mettre à un niveau raisonnable. » » » » »

    hks

  • Jacques Ghémard says:

    http://player.canalplus.fr/#/335763

    Ha trois heures de route par jour pour aller à Niort, le risque il est plutôt là en fait.

    Pour l’électricité, des panneaux solaires, des batteries et un groupe électrogène d’appoint et pour l’eau un système de désalinisation et de purification par osmose inverse…

  • Un dossier qui peut vous interrésser, « le courrier des Maires » :
    http://webmail1j.orange.fr/webmail/fr_FR/read.html?FOLDER=SF_INBOX&IDMSG=15065&ORIGIN=SYSTEM_FOLDER&SORTBY=1
    Plans digues de france;

  • Madame « Marie pierre » …ne vous fier pas trop au politique comme au Maire , toujours garder une distancepour la défense, saisissez le TA je vous prépare gracieusement depuis la Savoie les document et c’ets gratuit le TA. ce que l’on appele le mémoire introductif. Mais ne vous laissez pas déplacer si vous n’en n’avez pas envie. je vous laisse mon tél appelez moi dimanche 0963001012 après 9h. en toute sympathie.

  • JL says:

    A hks
    Je viens de voir Marie-Pierre chez Ardisson (Canal+). Elle a eu 12 cm d’eau.

  • Jacques Ghémard says:

    hks, pourquoi faudrait il être « en sécurité totale » ? La sécurité totale n’existe pas. Il s’agit donc de connaitre les risques et d’essayer de les maitriser au mieux.

    A mon humble avis, par exemple, le risque d’attentat est moindre à la pointe de l’Aiguillon que dans Paris et il est moins dangereux d’aller faire ses courses en voiture à l’Hyper-U de l’Aiguillon que d’emprunter quotidiennement le périphérique.

    Donc oublions la sécurité totale et cherchons simplement à connaitre les risques et à les mettre à un niveau raisonnable.

    C’est sûr que cette pointe a été bien ravagée mais je n’y ai pas vu de maisons détruites par la mer (mais bon, j’y suis juste passé une fois depuis le 28 février). L’eau a pu s’écouler vers le marais, donc tant que la commune de St Michel ne décide pas la construction d’une digue parallèle à l’aiguillon, le niveau ne devrait pas pouvoir monter trop haut et trop rapidement comme à la Faute. Le fait que l’acces est limité à une route peut impressionner mais les hélicons et les bateaux ça existe.

    Donc pour limiter le risque il me semble qu’il suffit de surveiller et d’entretenir la digue sérieusement, de prévoir des procédures d’alerte et d’évacuations préventives et d’ajouter sur chaque maison des équipements de survie au cas ou les digues et les alertes ne seraient pas suffisantes.

    Si on ne sait pas faire ça, alors arrêtons les bagnoles, les avions, les bateaux, les trains, etc…

    Connaissez vous les AMDEC ?

    http://fr.wikipedia.org/wiki/Analyse_des_modes_de_d%C3%A9faillance,_de_leurs_effets_et_de_leur_criticit%C3%A9

  • hks says:

    à Marie-Pierre de LEPINAY
    Dites moi quelle hauteur d’eau vous avez eu .
    Pour moi la zone noire à la pointe de l’aiguillon est justifiée .
    A vous de me montrer que non .

    Je ne suis pas sur place et n’ai pas en mémoire les lieux avec assez de précision .

    Considérez -vous que même avec une digue renforcée étanche surveillée vous seriez en sécurité totale .
    Quel est le niveau des terrains en arrière de la digue ?

    hks

  • Bonjour à toutes et tous , sachez qu’il n’y a que le TA pour annuler une décision du Premier Ministre, et faire suspendre les zones sur des cartes. Pas d’autres solutions pour celles et ceux qui désirent conserver leur propriété, et rester dans leur bien.

  • Jean E. says:

    Du nouveau, le référé d’AVIF par Corinne LEPAGE dit tout en plus de ce que nous savions « L’association des victimes des inondations de la Faute-sur-Mer, de l’Aiguillon-sur-Mer et des environs (AVIF) a déposé jeudi au tribunal administratif de Nantes une requête en référé pour obtenir notamment la communication des études ayant servi à déterminer les « zones noires » sur les communes concernées, annonce le cabinet de leur avocate Me Corinne Lepage…. » (AP) lien
    http://fr.news.yahoo.com/3/20100415/tfr-tempete-urbanisme-justice-refere-342d366.html
    Quand on a lu attentivement vos deux articles récents à savoir le rappel du jugement très clair du Tribunal Administratif de Nantes contre le maire de La Faute lien http://www.lafautesurmer.net/2010/04/13/conscient-des-risques-le-maire-de-la-faute-sur-mer-avait-donne-son-feu-vert-afp/ et l’interview de C. Lepage lien http://www.lafautesurmer.net/2010/04/13/corine-lepage-remet-en-cause-le-trace-des-zones-noires-la-croix/
    Donc depuis des années la Préfecture avec des moyens réduits comme partout avait fait son travail en décrêtant un PPRI local puis devant les blocages et l’urgence un ‘PPRI par anticipation’ (voir le portail des risques lien http://www.prim.net/ pour les définitions et documents) contre lequel la commune luttait sans cesse et réussissait le blocage. Le Préfêt a aussi attaqué au TA au moins un PC inconsidéré – pour ne pas dire plus – (connu comme en zone rouge du PPI anticipé) signé on se demande pourquoi par le Maire. On comprend que Mme Lepage termine par «  »…c’est toute la politique française de gestion des risques, restée virtuelle depuis vingt ans, qui doit être revue, non seulement dans les zones inondables, où il serait bon que l’on finisse par appliquer les PPRI, mais aussi dans les zones à risque industriel, où les mêmes plans de prévention n’avancent pas d’un pouce… » Car ceci se passe aussi en bien d’autres endroits en France ou en réalité l’enjeu seul considéré par beaucoup est combien cela va rapporter ou coûter sans vouloir entendre le Danger, que le risque soit Naturel ou Industriel. La concertation/mitigation absolument nécessaire est trop souvent ignorée et tout cela se termine aux tribunaux et dans les journaux à coup de victimes traumatisées.

  • Marie-Pierre de LEPINAY says:

    Bonjour à tous,
    Samedi 17 Avril 2010,
    Je suis résidente principale à la Pointe de l’Aiguillon.
    Depuis hier soir, je suis ecoeurée suite à la réunion du Préfet lors de la manifestation.
    Il dit ouvertement qu’aucun politique vendéen ne nous soutient, et malheureusement c’est vrai !!!!!!!
    PH DE vILLIERS APPLAUDIT LES ZONES NOIRES, SOUCHET AUSSI…
    Aucun d’entre eux n’a le courage de contredire le gouvernement !!!
    A se demander ce qu’on leur a promis !!!!!!!
    Et mon maire lors de la réunion avec le Préfet a même soutenu qu’il était d’ACCORD AVEC LES ZONES NOIRES DE SA COMMUNE NOTAMMENT EN CE QUI CONCERNE LA POINTE DE L’AIGUILLON !!!!
    RESTONS MOBILISES
    GROUPONS NOUS AVEC LES ASSOC DE CHARENTE MARITIME
    LA AU-MOINS LEURS POLITIQUES ONT DU CRAN !!!!!!!
    Marie-Pierre de LEPINAY

  • hks says:

    chere Maryse

    Sur ce blog ( au moins ) on parle de rehausser les digues ( je ne parle même que de ça depuis un mois.. en toute modestie)
    Plus on sera à en parler et mieux ce sera .
    ………………………………………..
    Les doris et les voiliers (enfin quelques lotissements) ,c’est un fait, étaient dans une zone dangereuse quelles que soient les digues , car une digue ce n’est pas performant à 100%.
    Il y avait « cuvette » et toutes les zones de la faute qui sont en cuvette sont potentiellement dangereuses . Sauf si on prévoit des évacuations … vers d’autres cuvettes .. non ? mais c’est intenable on ne va pas se mettre à creuser d autres cuvettes à la faute … où?
    …………………………………..

    Mais pour le reste de la faute .. si vous avez une digue continue /sans failles de la Hauteur du pont , de l’ écluse jusqu’ au établissement Renaud ( à la pointe )…

    à mon avis rien ne passe du Lay .(ou moins et pas à la même vitesse )

    Donc la solution c’est la digue et côté mer ( la plage )ce sont les dunes ( et une digue en plus pour le bourg ).
    A la belle Henriette il faut reconstituer la dune et l’élever .
    ……………………………………………………………….

    De toute façon il faut aussi des procédures/ signaux d’alerte
    quand la météo prévient d’une situation exceptionnelle .

    .

  • escabourg says:

    Ha quand même, le maire ne quitte pas son navire !!
    Au moins il respecte ceux qui l’ont élu!
    Dommage qu’il n’ai pas plus tenu compte des opposants…

  • Jacques Ghémard says:

    http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2010/04/16/97001-20100416FILWWW00629-400-personnes-contre-les-zones-noires.php

    Ha, mon maire y était !

    « Ces deux maires de communes, où 29 décès ont été constatés, ont été reçus par le préfet ainsi que ceux de La Tranche-sur-Mer, Serge Kubrik, et de Sainte-Radégonde-des-Noyers, René Froment, auxquels s’étaient joints quatre représentants des sinistrés. »

  • Maryse says:

    Il est vraiment étonnant qu’effectivement, on ne parle pas de la réhausses des digues!!!!Elles ne sont pourtant pas si hautes et de les surelever ne gacherait rien au paysage..
    De plus, sachant que d’autres communes comme la notre sont menacées, il y a une belle occasion pour développer de nouvelles techniques contre ces risques… (nouvelles architectures de maisons, moyens de prévisions , repenser les villes cotieres etc..
    La seule réponse pour l’instant c’est: « ON RASE » c’est tres progressiste ça!!!

  • lafaute says:

    N’y aurait-il que le Vicomte qui règne sur la Vendée ?

  • Jacques Ghémard says:

    Suspendre le plan de destruction, oui, mais il faut permettre à ceux qui veulent partir, de partir dans de bonnes conditions et ce même s’ils ne sont pas dans les zones définies, mais à condition qu’ils puissent prouver prouver que leur vie a été mise en danger (ou « aurait » s’ils étaient absents).

    Sur ma commune il y a quelques maisons qui font peur, avec de gros trous dans les murs et pas de zones noires pour elles.

  • escabourg says:

    Entièrement d’accord avec La Ségo, il faut suspendre ce plan de zonage et prendre le travail à l’endroit.
    Mais que fait la Vendée pendant ce temps?

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Zone interdite (mkv)

Des catastrophes pas si naturelle que ça (flv)

Documentaire de l'agence CAPA diffusé sur FR3 (wmv)

Débat avec PPDA sur FR3 (wmv)

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