Dans le projet d’intercommunalité visant à rapprocher les communes de L’Aiguillon-sur-Mer, La Faute-sur-Mer et La Tranche-sur-Mer, René Marratier (maire de La Faute) et Serge Kubryk (maire de La Tranche) veulent avancer rapidement.
Où en est aujourd’hui ce projet d’intercommunalité ?
René Marratier. « La synergie naturelle entre les trois communes est évidente. Après le passage de la tempête Xynthia, le conseil régional a établi avec les trois communes un Contrat exceptionnel de solidarités territoriales (CEST) d’une durée de quatre ans, entre 2011 et 2014. Ce contrat pourrait participer à l’avancée et à la structuration de notre projet de regroupement. Quatre axes principaux sont prévus : un soutien aux acteurs économiques, un soutien aux investissements publics, un soutien à la protection et à la valorisation de l’environnement et aussi un soutien financier à l’ingénierie locale et une assistance à maîtrise d’ouvrage. Il y a là un enjeu qui se chiffre en millions d’euros qui pourraient également être complétés par des subventions de l’État et du conseil général. Comme ce contrat devient caduc en cas de non-aboutissement de notre projet de regroupement de communes, c’est une chance que nous ne voulons pas manquer. »
Serge Kubryk. « Ce projet de CEST croise des objectifs sur lesquels nous travaillons actuellement à La Tranche, tels que la thalasso, l’installation de restaurants ou de résidence hôtelière. Il y a là une opportunité que nous ne devons pas laisser passer, d’autant que la réforme des collectivités territoriales risque de ne plus permettre ce type de financements après 2010. Nous avons donné des instructions au cabinet d’expertise compétent et indépendant, Ernst and Young, pour étudier non seulement les effets du regroupement de nos trois communes, mais aussi d’un éventuel rapprochement avec les communautés de communes de proximité que sont les Pays nés de la mer, le Talmondais ou le Moutierrois. À ce jour, nous attendons les conclusions des experts, et aucun engagement n’a été pris pour un rapprochement avec l’une ou l’autre de ces intercommunalités. Une quatrième solution qui consisterait à continuer à trois, La Tranche, L’Aiguillon et La Faute, n’est d’ailleurs pas à exclure. »
17 réponses à to “Intercommunalité : La Tranche et La Faute souhaitent avancer – La Tranche-sur-Mer (Ouest France)”
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a brigitte
malheureusement je ne peux pas répondre à cette question que je me pose depuis notre arrivée dans les amourettes
Jacquotte, tu nous parles des cars scolaires qui passent rue de l’Estuaire. Je croyais très sincèrement que l’arrêt était situé sur le parking de la rue du puits, le car aurait-il des difficultés pour faire demi tour à cet endroit? Je me creuse aussi la tête pour savoir quels enfants prennent le car à cet endroit (tu peux sans doute m’aider?). Mais bon, s’il n’y a plus de maisons aux amourettes, il n’y aura plus d’enfants donc plus de car scolaire.CQFD
merci jacquotte de ces précisions.
Tu vois, Pierre, j’avais pas tout saisi. Si les routes sont données à la commune c’est différent. Mais il aurait peut-être fallu commencer par le commencement: une décision des copropriétaires.Ce qui a été fait pour la masse A. Pour les autres c’est le cas?
pour Brigitte
la rétrocession des routes à la commune pour les amourettes afu A avait été votée
depuis plus de 3 ans ,mais rien ne bougeait:ni acceptation ni refus de la commune d’après le président. Donc la route n’était plus entretenue par personne, bien que les résidents payaient pour cela.De plus bien que rue privée la rue de l’estuaire est empruntée par tout le monde y compris les cars scolaires et depuis la tempête c’est un vrai boulevard.tous les curieux y passent.
A Brigitte Devilez. Bonsoir ou bonjour Brigitte. Toi ? Mal interprété ce que l’on t’as dit ? Alors là je veux bien être transformé en tarte aux prunes ou en ragoût de mouton !
Amitiés. Pierre.
J’ai lu un compte rendu (privé) du conseil municipal de jeudi soir et j’ai fortement regretté de n’avoir pu y assister.
J’y aurais appris qu’il ne faut pas dire « nous nous interrogeons sur la qualité des travaux effectués sur la digue » dans la presse locale au risque de se retrouver avec un dépôt de plainte pour médisance. Il faut plutôt dire : « Tout va bien, la digue ne bougera jamais »(sic).
J’aurais compris qu’il faut arrêter de poser des questions sur la solidité d’une digue à un maire : « c’est usant de répondre aux questions des gens inquiets tous les matins quand je vais chercher mon pain. C’est du harcèlement »(sic).
Surprenant aussi le cadeau fait aux propriétaires des Amourettes :
« après le départ des habitants dans la zone de solidarité, il ne restera plus personne pour s’occuper de l’association des propriétaires. La commune prendra donc en charge l’entretien de la voirie et l’éclairage public »(sic).
Je suppose que ce cadeau ne concerne pas la masse D qui n’a pas été touchée (ou peu) et j’en suis contente car, y habitant, j’aurais été gênée de profiter indument de l’argent public…
Mais je ne suis pas sûre que le début de la phrase fasse très plaisir aux habitants des AFU concernés. Le maire, ne soutient donc pas les propriétaires qui veulent rester chez eux ? Il abandonne le combat ? Peut être ai-je, comme d’habitude, mal compris !
Pour le nouveau PPRI, braves gens, ne vous faites pas de soucis : « les services de l’Etat travaillent en symbiose avec la commune »(sic).
Par ailleurs si j’avais été présente j’aurais peut-être compris ce que sont des « conneries antinomiques ». Le premier mot ça va, mais l’adjectif ? Le dictionnaire me dit que « conneries intelligentes » serait une antinomie. Ceux qui sont accusés d’un tel fait en conseil municipal, ne seraient donc pas obligés de porter plainte.
Allez, soyons sérieux, j’ai certainement mal interprété tout ce qu’on m’a dit…..
a jacquotte
pas surprenant ce projet de thalasso !
pour certains que l argent compte , meme si on doit mettre la vie des gens en danger !
un camping rte de la tranche avec x mobilhomes partis a la casse a bien rouvert !!!
Coucou, me revoilou…Un petit voyage pendant 15 jours pour changer d’air et voir la famille. Je retrouve mon blog préféré et je vois que les choses n’ont pas changé… Tiens, une thalasso, c’est urgent, c’est vrai, pieds dans l’eau et tout et tout… Et toujours pas de PPRI visible; bon… Et Ernst and Young comme officine d’experts, le must pour fermer les yeux quand il faut, Lafaute a raison…
Tout va bien les amis. N’attendez pas que le maire fasse quoique ce soit pour commémorer nos morts, il pète de trouille, et il ne fera RIEN. Faisons le et faisons le sans tarder, en en saison, quand tout le monde peut être là.
c’est bien beau le projet thalasso et hotel,mais où vont-ils les construire?
sur un terrain innondable??
c’est sûr pour le tourisme il vaut mieux cogiter sur ce projet que sur le PPRI!
nous ne devons pas avoir la même notion de l’urgence
alors là brigitte devilez tu es vraiment mauvaise langue ce n’est pas parce que tu n’aimes pas les hommes avec trois bracelets une bague et un collier qu’il faut critiquer!!!
c’est vrai que le monsieur à droite à l’air plus sobre mais la qualité de l’homme se compte certainement ailleurs que sur l’apparence joaillère.
Regarde notre président la haut lui il s’est bien fait des cheveux gris, certainement à cause de nous les vilains vendéens qui ne voulons pas de son argentalors même qu’il voulait faire le bien autour de lui et faire du social.
Et puis il est peut être bien ce monsieur de la tranche et peut être que si l’on s’en va vraiment tous à cause de xynthia, il fera un bon maire quand la faute sur mer sera rattachée à la tranche (ça va faire grimper les prix encore plus!!)
Il est prévu, par l’AVIF, un grand regroupement : une chaine humaine sur la digue de La Faute le 12 aout à 19h ( marée haute de coefficient 112)Réservez cette date! Toutes les associations, tous les résidents, tous les vacanciers sont cordialement invités à y participer. l’affiche apparaitra bientôt sur ce site et sur celui des adhérents de l’AVIF : Non, tout n’est pas réglé loin de là pour les familles sinistrés.
Bravo kiwi , oui reprenons le pont ,les sinistrés nous ne sommes pas mort . Les élus se moquent de nous . Ras le bol.
Il faut leur montrer que nous sommes encore là soudés . Nous avons eu tord d’arréter de se regrouper le dimanche.
Comme le dit Kiwi, reprenons le chemin du pont entre La Faute et l’Aiguillon, et pourquoi pas pendant la période estivale ? Histoire de montrer aux touristes que l’on oublie les sinistrés…..
DITES DONC MESSIEURS LES MAIRES PENDANT QUE VOUS Y ETES VOUS NE POURRIEZ PAS PENSER A VOS SINSTRES ET LES INDEMNISER QU ILS SOIENT SECONDAIRES AUSSI( MEME MOINS)
ET PEUT PETRE AUSSI PENDANT QUE VOUS DISCUTEZ ENCORE UN PEU PLUS SI VOUS PARLIEZ DE NOUS RELOGER SUR VOS COMMUNES AFIN QUE L ON NE PERDE PAS LES PAUVRES SOUS QUE L ON VA AVOIR POUR NOUS FAIRE OUBLIER QU UN JOUR ON A EU LE TORT DE S ARRETER CHEZ VOUS ET QUE MAINTENANT ON A PLUS BESOIN DE NOUS
CAR CHEZ NOUS A LA FAUTE(on peut dire chez nous après 27 ans svp) ON NOUS AVAIT DIT QUE L ON POURRAIT REFAIRE CONSTRUIRE A LA TRANCHE SUR DES TERRAINS POUR NOUS SEULEMENT (mais comme soeur Anne je ne vois rien venir) NON vous avez raison il faut axer encore davantage sur le tourisme et nous oublier
REPRENONS LE SENTIER DU PONT ENTRE LES DEUX VILLES POUR FAIRE VOIR QUE L ON EST PAS ENCORE MORTS NOUS LES SINSTRES
VOUS VOUS SOUVENEZ LE DIMANCHE A 15 H,
QU EN PENSEZ VOUS?
APRES TOUT NOUS ON A PAS TOUS DIT OUI A DEVILLIERS
Bonjour à tous,
Je note si vous le permettez:
Quatre axes (4) principaux sont prévus :
– un soutien aux acteurs économiques: OK, ça semble déjà prévu….
– un soutien aux investissements publics..?? Des Digues dignes de ce nom?…des réseaux d’alertes autonomes?…….des voies et des procédures d’évacuations?….des centre de secours non inondables?….
– un soutien à la protection et à la valorisation de l’environnement: ? Un cordon dunaire de protection stabilisé peut être?….(respectueux de l’environnement)
– et aussi un soutien financier à l’ingénierie locale et une assistance à maîtrise d’ouvrage…..pour l’entretien des digues?
Sur le fond, pourquoi pas ….car il y a effectivement de quoi faire
Evidemment, si seuls les projets immobiliers voient le jour…
A Bientôt sur ce vaste sujet
ERic
On pouvait rêver : une intercommunalité pour développer l’entente entre les municipalités, une meilleure activité sociale et culturelle, un développement harmonieux respectant la nature et les hommes…..
Lafaute, vous me faites redescendre sur terre ! Et le maire de La Tranche, même s’il ne porte qu’une montre au poigné, n’est pas en reste pour parler thalasso, restaurant et immobilier. C’est ça le Contrat Exceptionnel de Solidarité Territorial? Nul doute qu’il faut un cabinet d’expert tel que celui-ci car la bataille pour une telle manne financière va être terrible… entre les deux (ou trois communes).
« Nous avons donné des instructions au cabinet d’expertise compétent et indépendant, Ernst and Young, pour étudier non seulement les effets du regroupement de nos trois communes… »
C’est quand même eux qui étaient chargés d’auditer les comptes dans le scandale MADOFF ! Est-ce un bon choix ?