Jacques Barinet a tourné la nuit de la tempête puis a rencontré les sinistrés et les secours pour recueillir leurs témoignages. Son 52 minutes est en vente.

Un DVD pour mémoire mais aussi pour mieux appréhender comment la tempête Xynthia, en février dernier, a frappé la Charente-Maritime et la Vendée. « Avec un souci pédagogique plutôt qu’une volonté de faire du sensationnel. Je suis prêt à intervenir dans des établissements scolaires », ajuste le documentariste Jacques Barinet dont les locaux de production sont installés à Puilboreau, près de La Rochelle.

Ce documentaire, un 52 minutes réalisé avec des documents exclusifs tournés donc par l’intéressé, est disponible depuis fin juillet dans une douzaine de points de vente. « Surtout à Châtelaillon, dans le quartier des Boucholeurs qui a été cruellement frappé. À La Rochelle, on le trouve aussi au bar-restaurant La Corniche, qui a aussi été mise à mal. Cultura le vend également (1).

Ce DVD a fait l’objet d’un tirage à 4 000 exemplaires. Il avait fait l’objet d’une prévente sur internet (tempete-xynthia-lefilm.fr) », indique le professionnel de l’image. Disposant d’une longue expérience parisienne, il travaille déjà sur un documentaire pour France 3 et un autre pour France 2.

Témoin privilégié
Si ces deux projets lui tiennent à cœur, les images de la nuit de la tempête, cette dernière nuit de février, lui encombrent encore l’esprit. « J’étais aux premières loges de cet événement tragique. On ne l’avait pas vu venir avec cette importance malgré l’alerte météo. »

Dans un véhicule du service départemental et d’incendie (SDIS 17), Jacques Barinet a ainsi circulé entre La Rochelle, Aytré et Châtelaillon. « Là, j’ai vu comment les conditions se dégradaient au fil des heures. » Quelques instants auparavant, Jacques Barinet avait tourné au sein de la cellule de crise mise en place à la préfecture. Il y interviewe le préfet Henri Masse. Philippe Bleuse, ingénieur météo, du site rochelais, intervient aussi au fil du 52 minutes.

« Dehors, c’était impressionnant mais aussi angoissant puisque cela déroulait dans l’obscurité, surtout dans le secteur d’Aytré où j’ai vu les plongeurs sapeurs-pompiers partir à pied à la recherche des personnes qui avaient appelé le 18 en indiquant qu’elles étaient en danger de mort. » À Charron, au nord du département, des gendarmes font de même. Là aussi, ils sauveront de nombreuses personnes en état d’hypothermie.

Cette peur tétanisante des habitants piégés dans leurs maisons ou réfugiés sur leur toit, ainsi que le dévouement des secours, Jacques Barinet en sera aussi témoin au petit matin lors des hélitreuillages effectués par Dragon 17, l’engin de la sécurité civile basé à La Rochelle, un service qu’il connaît bien pour en avoir fait un documentaire.

Respect de la dignité
« Mon film est chronologique », dit-il. Je me suis concentré sur le secteur où j’ai pu circuler cette nuit-là. Mais je sais que les drames vécus à Charron et en Vendée mériteraient aussi un document. Les images que j’ai utilisées, sur les heures de rushes (épreuves de tournages : ndlr) dont je disposais, respectent la dignité des personnes qui ont été meurtries. »

À l’instar de plusieurs membres des équipes de secours qui se trouvaient en première ligne, plusieurs sinistrés témoignent ainsi dans le film. Ils disent leur terreur. « On paniquait, on pensait qu’on allait y passer », raconte ainsi une femme. Mais aussi, pour certains, leur détermination à vouloir rester dans leur maison. La question des zones noires dessinées par les services de l’État, et qui ne tarderont pas à susciter de vives réactions, n’est pas l’objet du documentaire.

« Mon film pose la question de rester ou de ne pas rester mais ne tranche pas. Il n’est pas polémique, il donne la parole aux sinistrés. » L’écoute aura sans doute contribué à dépasser ce qui était arrivé, à le relativiser.

(1) « Tempête Xynthia. Au cœur de la tempête avec les sauveteurs » : 10 euros, dont 1 pour le secours populaire français

52 réponses à to “La tempête Xynthia racontée dans un DVD (Sud Ouest)”

  • Jacques Ghémard says:

    Mr abasourdi, peut être que vous pourriez nous expliquer concrètement où sont les erreurs que vous pensez avoir trouvées et comment vous avez vérifié.

  • abasourdi says:

    merci Fourment:

    Tu as tout compris ! tu peux consulter aussi dans la rubrique Home de Consultation des projets du PPRI du 24 août 2010 et consulter les commentaires. En fait c’est ‘Jsuilfauteur’ qui ma mis la puce à l’oreille, vérifications faites il a entièrement raison , et les différences sont largement supérieures au 10 cm de tolérance annoncée… !

  • abasourdi says:

    Monsieur Ghémard
    Je vous confirme que la carte photogrammmétrique utilisée pour établir le PPRI
    présente des anomalies qui ne font aucun doute !

  • Jacques Ghémard says:

    Avez vous vu le journal de télé Vendée ?

    http://www.tvvendee.fr/video-TVV_le_journal_20100824_03v2.aspx

  • Jacques Ghémard says:

    Ha, effectivement, l’Avif écrit « Ce projet ne change pas, pour le moment, les zones de solidarité. Les futures parcelles à exproprier feront l’objet d’une autre procédure, distincte de celle-ci. »

    http://www.asso-avif.com/2010/08/25/quelques-mises-au-point-sur-les-projets-de-ppri/

    Or si ce sont des zone de solidarité, ce ne sont pas des zones d’expropriations, ce ne sont que des zones de rachat à l’amiable.

    Pour qu’il y ait expropriation, il faudrait qu’il y ait une autre procédure, en plus du PPRI, avec enquête publique aussi, et qui contredirait le PPRI.

    Donc j’aimerais bien savoir si l’AVIF écrit ça par prudence ou parce qu’ils ont eu des informations complémentaires.

  • Musette says:

    Exactement : pas « zones noires », mais de « solidarité » selon les euphémismes communicationnels préfectoraux..,

  • Musette says:

    C’est ce que j’ai lu sur le site de l’AVIF et compris.
    Je suppose que c’est la préfecture qui donne ces infos à l’asso.

    Ce que je dis du rendu à l’état sauvage m’est personnel. De même que, si un déclassement du domaine maritime est possible ( je crois que ça avait été le cas pour le casino), ce ne peut en aucun cas être vendu pour un usage privé et encore moins un promoteur ! Ces terrains devaient être maintenus pour un usage public, genre square par ex.

  • Musette says:

    Question à Prieur :
    tu évoques la possibilité de tsunamis sur la côté Atlantique. En effet, il ne manquerait plus que ça !
    As-tu noté des références sur cette question ? Merci de nous les indiquer.

  • Jacques Ghémard says:

    « Les zones dites noires seront traitées à part et font l’objet d’expropriation. »

    D’où vient cette information ? Est elle compatible avec un PPRI qui ne parle pas de ce genre de mesures ?

  • Jacques Ghémard says:

    On trouve des références de niveau au pieds des ponts sur le Lay

    http://geodesie.ign.fr/fiches/pdf/O.H.A3C3-39_310915.pdf

    http://geodesie.ign.fr/fiches/pdf/O.H.A3C3-38_499187.pdf

    Et je pense qu’il faudra une armée de géomètre pour que chacun sache à quelle hauteur il doit mettre son refuge et ses prise de courant …

    Sur les cartes du projet de PPRI, il est dit que le plan est établi sur la base d’un relevé photogrammétrique datant de 2001 et qui prétend être précis à plus ou moins 10 cm. Je suppose que c’est un relevé effectué par l’armée mais peut être que la précision n’est pas celle annoncée. Je pense qu’il faudrait que l’Avif utilise les services de géomètres pour faire quelques vérifications s’il y a des doutes.

    http://fr.wikipedia.org/wiki/Photogramm%C3%A9trie

  • Musette says:

    Vu, sur le site de l’AVIF que les travaux obligatoires à faire seront subventionnés par les fonds Barnier et l’aide sociale si besoin. Un coup de main appréciable donc pour bien des familles.
    Vu, aussi que les maisons en zones rouges ailleurs, se vendent normalement….
    Les zones dites noires seront traitées à part et font l’objet d’expropriation. Rendues sans doute définitivement à l’état sauvage qu’elles n’auraient jamais dû quitter…
    Un de mes amis pense même que l’acquisition de ces zones par un promoteur était illégale, du fait de leur statut de domaine public maritime, et indéclassable par la municipalité.
    Mais, c’est une autre histoire à découvrir parmi ces « conneries antinomiques ».
    Allez ! bon courage à tous.

  • jsuilefauteur says:

    A Jacques Ghémard:
    Merci pour ta réponse rapide et je retiens la cote de 3.7m (environ) pour le centre de la commune au pied de la Mairie.
    Voici une réponse qui apporte un début de précision à tous ceux qui sont complètement perdu dans ce langage de la ‘’ COTE ‘’. Et j’en trouve de nombreux. Un schéma explicite serait nécessaire pour mieux comprendre les thermes de ta première phrase…!
    Et la cote de départ, ‘’ O ‘’, ou aller la chercher ?
    Mais alors, pourquoi des terrains de même niveau, je dis bien de même niveau, et en dehors des 100 mètres, certain sont en rouge (et n’ont pas été inondé) et les autres en bleu (ont été inondés avec 0,50 d’eau)…? J’ai moi-même observé ce détail !
    J’ai bien compris ton dernier paragraphe, mais la zone dont je parle a bien fait le plein d’eau à l’heure précise de la marée !
    Bonsoir et merci.

  • Jacques Ghémard says:

    Le niveau d’eau maxi lors de Xynthia serait de 4,7 m et le niveau maxi pour être en zone rouge, c’est 3,7 m. Donc on peut avoir vu 1 m d’eau sur son terrain et être en Zone bleue foncée. Seuls les zones bleus claires n’ont normalement pas eu d’eau.

    La Mairie est à la limite entre bleu et rouge (la place est en bleu si j’ai bien situé tout ça). Son terrain est donc à peu de chose près à la cote 3,7 m si les cartes sont justes.

    Mais l’inverse n’est pas vrai. L’eau n’a probablement pas eu le temps d’aller partout avant qu’elle commence à redescendre. Donc on peut ne pas avoir vu d’eau et être en zone rouge. Ca se justifie parce que « la prochaine fois », les digues ne céderont probablement pas au même endroit ou bien les obstacles rencontrés par l’eau ne seront pas les mêmes.

  • jsuilefauteur says:

    Bonsoir à tous,
    Les techniciens que vous êtes, pourraient-ils me donner la cote exacte de la marche la plus basse de la Mairie ?
    Elle a prise l’eau le 28 février, et elle se trouve en zone bleue…!
    Avec mes remerciements !

  • Claude 77 says:

    Grace aux satellites qui passent et repassent, on arrive à faire des mesures de plus en plus précises.Les spécialistes assurent aujourd’hui que le niveau de la mer augmente au maximum de 2 à 3 mm par an soit 20 à 30 cm max par siècle.
    Extrait du dernier livre de Monsieur Claude ALLEGRE, « l’imposture climatique ». A faire lire à notre préfet et à son équipe.L’AVIF pourrait le lui offrir.

  • Jacques Ghémard says:

    « COMBIEN Y AURA T IL DE MAISONS EXPROPRIABLES TOUCHEES PAR LE PPRI »

    Le PPRI ne parle pas d’expropriation et donc moi j’en déduis qu’il n’y aura pas d’expropriations, juste les achats à l’amiable qui ont déjà été proposés.

    Mais vous avez parfaitement raison Kiwi, tout ça devrait être dit clairement. Et pour le moment c’est pas clair puisque nous ne lisons pas la même chose.

    Et que font les avocats de l’Avif ?

  • Jacques Ghémard says:

    « la limite est 3,70 m mais néanmoins en tenant compte des prévisions 2100 »

    Donc vous voudriez qu’on s’en tienne à la hauteur actuelle et que la zone rouge soient les terrains en dessous de 2m70 ? Ca voudrait dire que sont en zone rouge ceux qui ont eu au moins 2m d’eau sur leur terrain pendant Xynthia.

    Je rappelle que la zone rouge ne fait qu’interdire les constructions nouvelles et les agrandissement et qu’elle impose la construction de refuges en hauteur plus quelques autres mesures moins lourdes et que le tout ne peut pas coûter plus de 6% du prix de la maison.

    Moi ça me semble des mesures à peu près raisonnables quand on a un terrain qui a vu 1m d’eau.

    Maintenant, je ne sais pas si la carte n’exagère pas le phénomène ??? J’ai été surpris par l’étendue de ces zones rouges. Par exemple je ne pense pas que l’hyper U de l’Aiguillon ait été touché. Mais peut être qu’il s’en est fallu de peu et que la marée à baissé suffisamment vite pour ne pas aller jusque là.

  • kiwi says:

    a Jacques Ghémard

    Il faut effectivement se poser la question suivante, si il y danger extême à moins de 100m des digues et mons de 3.70m COMBIEN Y AURA T IL DE MAISONS EXPROPRIABLES TOUCHEES PAR LE PPRI

    Ne pensez vous pas qu’il y aurait pu y avoir une réunion générale de la mairie pour expliquer aux gens ce qu’est un PPRI plutôt de mettre doucement sans bruit un affiche à la mairie que tout un chacun peut voir effectivement, mais encore s
    faut il être informé que celui ci va arriver. Pour ma part ma belle mère ne s’en inquiète pas du tout puisque ne comprenant pas du tout les enjeux du PPRI
    Combien de personnes agées pourront elles faire des travaux en auront elles les moyens.
    Je suis scandalisée du manque d’infos de la mairie et de la non prise en considération de l’humain.
    Qui de nos ailleuls ont internet pour se renseigner et connaître leurs droits.
    ok NUL N EST CENSE IGNORER LA LOI
    QUI EXPLIQUERA AUX GENS DE NE PAS PANIQUER?
    MEPRISABLES COMME D HABITUDE MAIS FIDELES A LEUR IDEES QUI CA?

  • prieur says:

    Effectivement la limite est 3,70 m mais néanmoins en tenant compte des prévisions 2100 sur lesquelles les scientifiques ont différents points de vue . Ce mètre supplémentaire est en tout cas responsable de l’agrandissement des zones rouges par rapport au PPRI 2007 ( élaboré par les mêmes experts , voyez la différence en 3 ans !!! Surtout que les zones rouges délimitées en 2007 se sont belles et bien avérées touchées par un ensemble de faits exceptionnels ( centre d’une têmpête violente + marée haute & phénomène de basse pression ), & à tout cela on rajoute une montée des eaux de 1 mètre ( prédiction pour 2100 ). Pendant qu’on y est, la possibilité d’un éventuel Tsunami aurait pu y être insérée ( vu que certains scientifiques évoquent ce cas de figure sur la façade Atlantique pour le siècle à venir ) .

  • Jacques Ghémard says:

    « la zone rouge comprend les habitations à moins de 5m70 »

    Non !

    « Cette zone englobe toutes les zones situées à moins de 100 en arrière des ouvrages de protection ainsi que les secteurs urbanisés susceptibles de recevoir plus de 1 mètre d’eau en 2010 et 2 mètres d’eau à l’horizon 2100. »

    Donc altitude inférieure à 5m70 moins 2 mètres, soit inférieure à 3m70.

    J’ai fais la même erreur que vous à ma première lecture. 5m70 c’est la cote de référence au delà de la quelle le danger est considéré comme inexistant à plus de 100 m d’une digue. C’est la cote de plancher mimimale pour les abris. C’est la fin de toute zone.

    La zone Bleue foncée va de 3m70 à 4m70 et la zone bleue claire de 4m70 à 5m70.

    « la zone bleu foncé qui correspond aux secteurs urbanisés soumis à un aléa fort
    (hauteur d’eau comprise aujourd’hui entre 0 m et 1 m et à l’horizon 2100 entre 1 m
    et 2 m sur les terrains en dehors de la bande des 100m en pied de digues) ;
    la zone bleu ciel qui correspond aux secteurs urbanisés soumis à un aléa faible à
    moyen (absence d’eau en 2010 mais hauteur d’eau inférieure à 1 m à l’horizon
    2100 en dehors de la bande des 100 m en pied de digues). »

    Ca change tout, non ?

  • Très bien Prieur pour votre post  » la montée des eaux d’içi 2100 ( +1m . C’est sur ce mètre que je m’interroge vu les avis divergents de nombreux scientifiques ) . » En tant que scientifique moi-même nous ne connaissons jamais nos marges d’erreur, dans un sens, comme dans l’autre d’ailleurs !
    Comment affirmer une cote pour l’année 2100, alors que personne n’avait donné la hauteur d’eau pour le 27 février ! …je me trompe ?
    Mais faire des maisons sans étages dans un PLU est aussi criminel, que de continuer d’être Maire dans cette même commune ! ! !

  • prieur says:

    Mr Ghémard , la zone rouge comprend les habitations à moins de 5m70 ( & non 3 m70 .) déterminé par la tempête Xinthia ( 4m70) + la montée des eaux d’içi 2100 ( +1m . C’est sur ce mètre que je m’interroge vu les avis divergents de nombreux scientifiques ) .

  • Jacques Ghémard says:

    « Si tous les éléments assemblés à l’élaboration de ce ppri devenaient les références pour les ppri de toute la côte française , j’ai l’impression que tout serait en zone rouge. »

    Tout ce qui est situé à moins de la hauteur des marées hautes de coefficient maximum dans des conditions climatiques normales, oui certainement.

    Parce que la zone rouge c’est ce qui est à moins de 3,70 m et donc c’est à peu près la hauteur des très grandes marées normale. Donc oui, actuellement, tout ce qui est en dessous de cette hauteur est en zone non constructible et ça s’appelle le domaine maritime sauf de rares exceptions appelées polders.

    Sans Xynthia la hauteur de l’eau aurait été de 3m ngf le 28 février et le coef n’était que de 102. Avec un coef maxi de 120 ça aurait fait 3,5m. Et vous trouvez que mettre en zone rouge tout ce qui est à moins de 3,7 m c’est déraisonnable ???!!!

    vous pouvez voir dans ce document :

    http://www.shom.fr/fr_page/fr_act_oceano/maree/GRANDES_MAREES2010.pdf

    qu’il y a 40 jours de grandes marées par an avec un coef de l’ordre de la marée du 28 février ou supérieure. Soit une 40 chance sur 365 pour qu’une tempête arrive pendant une grande marée plutôt que par un coef moins important. Xynthia n’était pas une tempête très forte, moi j’en compte une du même ordre tous les deux ans environs. Et je considère qu’elles durent environs 4 heures, et elles risquent donc de sévir pendant la marée haute avec 4 chances sur 12. Ca nous fait donc un risque annuel de 40/365*1/2*4/12 soit 2%. Autrement dit deux fois par siècle et on retrouve comme par hasard un cas semblable en 1940.

    Et c’est pas parce que c’est arrivé cette année que ça n’arrivera pas l’année prochaine. Chaque année le risque est le même.

    Donc ne dites pas que ça n’arrivera plus. C’est arrivé et ça recommencera. Votre seule chance c’est des digues sérieusement conçues et bien entretenues, couplées à des moyens de sauvegardes collectifs et individuels.

  • BRISTIEL says:

    http://www.vendee.pref.gouv.fr/sections/actus_du_site/tempete_xynthia__pro/view
    Mardi 14 h
    site de la prefecture où ils viennent de mettre les PROJETS de PPRI en ligne
    . Utile pour les habitants de l’Aiguillon
    puisque pour ceux la Faute la mairie l’avait déjà fait………..
    pour une fois !!

  • Musette says:

    Negocier un plan ne relève pas d’une entente où on enterrerait la hache de guerre, mais d’un rapport de forces avec pour horizon la Loi et ses contraintes. Justement, rien d’affectif dans tout cela. On fait pas ami ami, on discute sur le fond avec rigueur et textes en main.
    Les gens qui écrivent dans ce blog ne seront pas pour l’essentiel dans cette négociation avec les institutions.
    Pour ce qui me concerne, je considère certains agissements comme indignes et impardonnables et je ne cesserai de le dire, en mémoire aussi de ceux qui sont morts. C’est en leurs noms que je parle ici, et ce, qu’elle que soit la manière dont l’échange a lieu. Quant aux idées qui s’échangent sur ce blog, elles me semblent saines et ont le mérite d’exister dans une commune meurtrie, dont on ne peut ignorer que certains y ont une résponsabilité, que la justice précisera.
    Pour le zonage : je suis d’accord avec Jacques, c’est aussi ce que j’ai compris.
    2100, c’est l’horizon pour nos petits et arrières petits enfants.
    On peut imaginer que l’AVIF, par exemple, fasse valoir que le coût des travaux est discréminant et que seuls les plus riches pourraient rester dans leurs maisons. Il y aura là de vraies questions à débattre et des solutions à trouver. De même que des aménagements déjà faits pourront être valorisés dans la négociation.
    Mais j’ai confiance dans le bureau de l’AVIF, représentant ici les victimes vivantes ou mortes, et leurs familles, de ne rien lâcher sur le fond de son exigence, tout en permettant à ceux qui le souhaitent de garder -EN TOUTE SECURITE – leurs
    maisons. C’est le sens d’un PPRI. On a vu ce qu’il en a coûté de ne pas en tenir compte …

  • prieur says:

    Mr Ghemard , la mer a ses avantages mais aussi ses inconvénients & cela tout le monde les connait . Mais en ce qui concerne le projet du PPRI concocté par la DDE , je ne vous rejoins pas du tout sur la légitimité que vous accordez à ce PPRI qui à priori rassemble uniquement tous les scenarios catastrophes possibles d’un seul bloc ( que l’oeil d’une tempête telle que Xinthia repasse par la Faute ajouté au plus fort coefficient de marée possible & de surcroit en se basant sur une montée du niveau de la mer de 1m en 2100 ( * à ce propos les avis des scientifiques divergent , certains annonçant 50 cm d’autres plus , qui croire ? ) . Si tous les éléments assemblés à l’élaboration de ce ppri devenaient les références pour les ppri de toute la côte française , j’ai l’impression que tout serait en zone rouge.

  • Jacques Ghémard says:

    Ben, Monsieur Delavaud, j’ai lu « L’année 2100 prise pour référence, n’a pas constance juridique , et sera facilement attaquable, c’est si l’on vous disait qu’un volcan d’Auvergne allait se réveiller le 24 décembre 2092 »

    Et j’ai donc compris que l’équivalent d’une irruption volcanique le 24 décembre 2092, ce serait une tempête à une date précise de l’année 2100. Mais parfois je comprends mal, il ne faut pas hésiter à m’expliquer.

  • à Gaimard, je n’ai pas parlé d’une tempête en 2100 ! que diable prenez le temps de lire !

  • Jacques Ghémard says:

    2100 ce n’est pas la date prévue pour la prochaine tempête, c’est la date aux environs de la quelle il est probable, d’après différentes études scientifiques, que le niveau de la mer sera plus haut d’un même que maintenant, cette montée étant évidement progressive et d’ailleurs observée depuis une cinquantaine d’années.

    Je doute donc que l’on puisse reprocher à ce PPRI de chercher à anticiper l’avenir grâce à la science.

    Pour les pilotis, je ne vois pas ce qui, dans le PPRI, interdirait d’utiliser ce genre de construction. Les remblais sont interdits, les planches doivent se trouver à une certaine hauteur … D’ailleurs dans les annexes, je lis : « Toutefois, ne seront pas considérés comme emprise au sol, tous bâtiments ou
    parties, construits au-dessus de la cote de référence sur une structure de type pilotis ou dispositif équivalent ».

    Par ailleurs, concernant les zones noires, je retrouve ce que disait récemment l’avocat de l’Avif

    http://www.lepoint.fr/societe/interview-bientot-un-debut-de-reponse-pour-les-habitants-de-la-faute-sur-mer-19-08-2010-1226514_23.php

    Il s’attendait à des expropriations prescrites par le PPRI, or il n’en est rien.

  • Dominique says:

    Il ne faut pas gaspiller pas notre énergie en vaine diatribe, gardons la pour poser les bonnes questions lors des réunions de présentations du PPRI (j’espère qu’il y en aura) et l’enquête d’utilité publique ensuite . Nous avons le droit et le devoir d’y participer et d’obtenir que ce PPRI définitif soit conforme à nos attentes .

  • Bonjour , il faut des règles c’est une certitude après la tempête. J’ai lu en détail le PPRI, et s’il y a bien des erreurs d’écrites, à aucun moment des constructions sur pilotis ne sont envisagées, pour les zones citées , ce qui est étonnant ! ! ! L’année 2100 prise pour référence, n’a pas constance juridique , et sera facilement attaquable, c’est si l’on vous disait qu’un volcan d’Auvergne allait se réveiller le 24 décembre 2092 ! ! !

  • Jacques Ghémard says:

    « ce projet de PPRI qui met tout simplement en péril le village »

    Je ne pense pas que ce soit le PPRI qui met le village en péril. C’est plutôt la mer qui est dangereuse pour la Faute et le PPRI peut être le moyens de sauver la Faute et ses habitants. On ne peut pas reprocher à l’étude de la DDE de ne pas avoir eu d’effet et refuser le PPRI qui en est son prolongement logique.

    Et la formation de la dune ne va pas soulever les maisons. Au mieux elle les recouvrira de sable.

    Les zones rouges du projet de PPRI, c’est la zone ou il y aurait 1m d’eau avec Xhythia et rupture des digues. Il n’y a donc pas besoin d’attendre 2100 pour justifier ces zones.

    « certains ont déjâ compris qu’ils n’auront pas les moyens de faire les travaux de sécurisation dans la petite maison héritée de leurs parents »

    Et donc le PPRI est à mon avis critiquable non pas pour la surface de la zone rouge, mais parce que les travaux qu’il impose me semble démesurés. Pourquoi une zone refuge de 20 m2 ? Dans une embarcation de sauvetage de cette surface, on sait mettre 62 personnes pesant chacune 75kg !!!

    Donc il suffirait de prescrire un escalier de secours débouchant sur un petit abri de 2m2 pour 6 personnes, cet abri pouvant être standardisé et fabriqué à pas cher en série. Est-ce que ce genre de chose serait trop cher pour ceux qui n’ont qu’une petite maison en héritage. Subventionné à 40% en plus.

    « qu’ils pourront (sauf ceux en zone noire) continuer d’habiter leur maison avec des modifications fixées par les zones rouges »

    Et pourquoi « sauf ceux en zone noire » ? Les zones noires ne sont plus que des zones ou l’état propose le rachat des maisons à l’amiable, mais ces zones noires n’existent pas dans le PPRI. Donc je ne vois pas comment l’état pourrait d’un coté dire vous êtes en zones rouge, voici ce que vous devez faire en zone rouge pour assurer votre sécurité, et de l’autre dire que vous n’êtes pas en sécurité et que l’on vous force à vendre vos maisons.

    Ou alors il y a une sorte de « super PPRI » secret derrière le PPRI et je voudrais bien savoir d’où vous tirez cette info ???

    Donc à mon avis, les zones noires c’est fini, et vive le PPRI modifié dans un esprit « low cost » et précisant les caractéristiques des digues.

  • prieur says:

    Je comprends tout à fait le désappointement de certains voire une certaine rancoeur . Malgré tout il me semble qu’une union , même provisoire , de toutes les parties à la Faute sur Mer est plus que nécessaire pour réagir vigoureusement à ce projet de PPRI qui met tout simplement en péril le village. Connaissant bien la Faute sur mer je ne comprends vraiment pas comment peut on faire une projection jusqu’en 2100 alors qu’il s’avère que le banc sablonneux prend de plus en plus d’ampleur ( il suffit de consulter quelques vieilles cartes postales des années 30 pour s’apercevoir que la mer s’est « légèrement » éloignée ) d’où peut être le problème du Lay … N’étant pas spécialiste je ne m’étendrais pas sur le sujet .
    Par la même occasion je tiens à dire mon incomprehension face aux commentaires de nombreuses personnes ( services de l’état – politiques & particuliers ) qui ont brandi l’étude de la DDE avertissant des conséquences d’une submersion marine … mais après le désastre . Vu l’alerte météo de la veille , les personnes ( voire l’auteur de ce rapport ) qui avaient eu l’occasion de le lire avec attention auraient peut être pu prendre les dispositions nécessaires . Comment vouliez vous que le maire de la Faute sur mer aurait pu prendre la décision d’évacuation ( vu qu’à priori il ne croyait pas à la possibilité d’une tel scénario catastrophe ) alors que ceux qui ont rédigé ce rapport alarmant ( & qui s’est malheureusement vérifié ) auraient pu prendre les mesures nécessaires ( au moins alerter la population des risques encourus ) . A croire que peu de gens y croyaient sérieusement .

  • Musette says:

    Cher Prieur, pour s’entendre, faut il encore avoir les mêmes valeurs . Ce n’est pas le cas et c’est le moins que l’on puisse dire ! Ce site travaille, contrairement à ce que tu sembles croire, à sauver les meubles et construire un avenir…

  • Brigitte Devilez says:

    à Prieur,
    Ce site n’est pas le site de l’association des sinistrés (AVIF). Celle-ci se battra bien évidemment pour que les projets de zonages soient revus et ce, en enterrant, EN CE QUI LA CONCERNE, la hache de guerre comme vous l’appelez.
    Mais vous devez aussi comprendre que les habitants ont besoin de s’exprimer, d’échanger avec parfois humour ou acidité. Les élus ont brigué leur mandat (personne ne les y a obligés), ont montré leurs limites dans la gestion de cette crise et ils doivent assumer. On peut comprendre que certains habitants aient besoin de se défouler.
    Les propos tenus sur ce site n’engagent que ceux qui les tiennent et n’entament en rien le sérieux et le recul avec lesquels l’association des sinistrés défendra ses adhérents et les deux communes en général.

  • prieur says:

    Votre site qui était si intéressant il y a quelques temps encore le devient beaucoup moins . Excepté les règlements de comptes , rien de nouveau . Vu l’annonce du peut être futur PPRI , l’avenir de votre village s’annonce sombre . Vous feriez peut être mieux d’enterrer la hache de guerre ( même provisoirement) d’un côté comme de l’autre pour combattre un projet de PPRI totalement abberrant ( Mais à priori la Faute sur Mer doit servir d’exemple) où tout de même 90% des habitations se trouvent en zone rouge . En 2100 la Faute sur Mer risque d’avantage d’être un village fantôme que le charmant lieu que vous décrivez ( vu que les habitations existantes en cas de sinistre ne pourront être reconstruites ) .

  • Musette says:

    A Soizic :
    voir plus bas, mes remarques très fines sur les folles nuits fautaises…Et tu y trouveras l’histoire de la limonade.
    A MA :
    Merci pour cette leçon de linguistique. J’ai déjà l’air moins c…et plus djeune !
    A Brigitte:
    T’as raison , ça me fout un coup de vieux …Quant à ma parano, pourtant je me soigne. !

  • Soizic29 says:

    Bonjour,
    Je ne comprends rien à votre histoire de limonade.
    Quelqu’un peut-il m’éclairer ?
    Merci d’avance

  • MA says:

    pour Musette,
    pour parler le Djeun ! On ne peut te laisser dans cet état là 😉
    quelquefois ca correspond à des mots anglais , d’autres fois en Français …
    Lol = Laughting Out Loud (Littéralement rire à gorge déployée) Mdr = Mort de rire,

    A+

  • Brigitte Devilez says:

    Que veux-tu Musette, on vieilli, on manque de vocabulaire…et on devient soupçonneuses. Pas bon tout ça….

  • Musette says:

    Gigi !
    J’avoue ne pas savoir ce que signifie « mder et lol »…Je n’ai pas l’air malin, mais j’assume..

  • Musette says:

    A Brigitte et Gigi
    Flute ! J’en parlerai à mes sources …
    Tu m’intrigues Brigitte …Alors, ce serait pire que ça ! Pas du coca tout de même ?..
    Donc, le comité des fêtes est alimenté par une caisse de… liquidités ! Eh! Ben dis donc !
    C’est dingue ce qui se passe à La Faute by night…

  • GIGI says:

    bonjour musette de la limonade !!!! ha bon !!!!!!! comme dise les jeunes mdr et lol …….

  • Brigitte Devilez says:

    Musette, es-tu bien sûre de tes sources : s’agit-il vraiment de limonade?
    L’argent, ce doit être pour le comité des fêtes, (dirigé par les mêmes) qui, bien sûr, l’utilise pour le bien de tous. Quelle mauvaise langue tu fais, Musette…

  • Musette says:

    A Kiwi :
    merci à toi qui sans relâche aura tenu sous les insultes
    Bravo à toi qui aura ramené des centaines de signatures, permettant aussi de montrer aux autorités concernées l’impact de l’ AVIF.
    Ce maire en t’interdisant l’accès à la place du marché et en te faisant poursuivre par sa milice, est dans l’ILLEGALITE, il ne pourrait justifier ses actes que par le fait que tu causerais un trouble à l’ordre public !!!
    Quand ses administrés s’arrachent les yeux sur des cartes pour savoir dans quelle couleur ils habitent, et que certains ont déjâ compris quils n’auront pas les moyens de faire les travaux de sécurisation dans la petite maison héritée de leurs
    parents, que fait le maire ?
    Il veille jusqu’à plus d’heure pour… VENDRE DE LA LIMONADE !
    Car cet homme est entièrement dévoué … à la limonade.
    Quand ses concitoyens meurent dans la tempête, le maire …dort.
    Mais, il veille jusqu’au milieu de la nuit pour vendre…de la limonade.
    Au fait, question subsidiaire : où va cet argent ?

  • Soizic29 says:

    Bonjour,
    Un Maire est Maire les dimanches et les jours fériés. Il peut aussi être dérangé la nuit en cas de gros problème sur sa commune.
    On n’est pas Maire à temps partiel. Si on ne veut pas dialoguer avec ses administrés ou être interpellé par eux à la mairie ou dans la rue, on ne se présente pas au suffrage de ses concitoyens.

  • monique94 says:

    à Kiwi,
    De passage quelques jours à La Faute pour participer à la chaîne humaine, nous t’avons cherchée dimanche aux abords du marché pour te soutenir, mais soit tu avais pris un jour de repos mérité, soit on a réussi à bien te cacher!!
    A bientôt

  • kiwi says:

    Ce monsieur aurait du filmer la façon dont nous traite les responsables en haut lieu du marché nous imposant de ne pas être sur le marché à informer les personnes et à signer des pétitions afin que l’on respecte le choix des gens. On nous a insultés fait venir la police municipale, fait déménager, mis des bandes interdiasnt notre emplacement, bref on a peur que l’on renseigne le petit peuple que nous sommes. Eh bien BRAVO A MONSIEUR LE MAIRE DE L AIGUILLON D AVOIR AFFICHE LE PPRI EN DIRECT POUR SON PEUPLE GRACE A LUI LE SOIR MEME AVEC RETARD LA MAIRIE DE LA FAUTE EN FAISANT DE MEME

    iMPOSSIBLE DE DISCUTER AVEC MONSIEUR LE MAIRE QUI DEVANT TEMOIN M A INSULTE UN DIMANCHE DANS LA RUE PARCE QUE JE LUI DEMANDAIS UN DIALOGUE « comment vous permettez vous de me déranger un dimanche dans le rue de quel droit vous permettes vous »!!!
    je ne fais que rapporter des faits avec témoins.

    Voila ce que vous auriez du filmer cher Monsieur, la vie des fautais, la vraie, celle
    de ceux qui ne laissent pas tompber tant qu’il y a de l’espoir.

    C’est pourquoi, malheureusement, l’avif ne sera pas présente demain matin au marché alors qu’à l’heure de la publication du PPRI de la fauteet de l’aiguillon, les gens vont paniquer, et ils auraient besoin qu’on leur explique que ce n’est pas dramatique , qu’ils pourront (sauf ceux en zone noire continuer d’habiter leur maison avec des modifications fixées par les zones rouges obligatoires que nous membres de l’avif pourront leur communiquer.

    On pourra toujourss tout faire pour nous faire taire, les gens viendront naturellement nous interroger.

    Helas pour beaucoup il va falloir accepter ou négocier très rapidement afin que le PPRI soit accepté et connaître enfin QUI VA PARTIR OU RESTER CAR IL FAUT ETRE CERTAIN QUE POUR L INSTANT C EST CERTAIN IL N Y A PAS ASSEZ D ARGENT POUR SERVIR TOUS CEUX QUI ONT SIGNES LEUR OFFRE DE RACHAT(renseignements officieux mais certains)

    Certains ont signés leur offre car ils étaient dans la limite du temps des trois mois, et si ce temps était prolongés à l’applicaton du PPRI promulgué , ils ne signeraient pas leur offre. Il est donc impératif de proroger ce temps. Pour cela il va falloir remanifester pour faire savoir notre choix

  • Brigitte Devilez says:

    Bonjour Gigi,
    tu peux aller sur le lien suivant. (désolée il va falloir le recopier).
    http://www.tempete-xynthia-lefilm.fr/commande.html
    Tu pourras visionner le film et le commander (12,50 euros avec les frais de port)
    Je n’ai pas encore tout visonné sur le site donc pas encore de commentaires sur le contenu.

  • GIGI says:

    BONSOIR A TOUTE ET TOUS , peut on me dire ou trouver le dvd ??? merci car je souhaiterais en acheter un , merci

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