Madame Lagarde, Sous Préfète des Sables d’Olonne répondra aux questions sur le projet de PPRI, le mercredi 15 décembre à 18 heures au Pavillon des Dunes. Les Fautais résidents principaux ou secondaires seront prioritaires pour entrer dans la salle.
A la même heure, à la salle des fêtes de l’Aiguillon sur mer, Monsieur Huftier, Sous Préfet de Fontenay participera à une réunion identique.
Les interrogations et remarques des habitants seront prises en note et une synthèse sera communiquée à la Préfecture.
Vous pouvez d’ors et déjà vous rendre sur le site de la préfecture pour lire la Foire aux Questions ( FAQ) initiée par les services de l’Etat et alimenter ce document en posant vos questions par mail aux adresses indiquées pour les remarques sur le PPRI.
13 réponses à to “AVIF: Des réunions d’information sur les projets de PPRI de La Faute et de l’Aiguillon”
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Bonsoir à tous
Effectivement, aucune chance que les résidents secondaires puissent venir (sauf éventuellement les retraités ?)…
Je sais pouvoir compter sur les représentant de l’AVIF pour exprimer l’essentiel des interrogations que nous avons.
Pour autant, et même si les propos oraux n’ont pas force d’engagement, j’aimerais savoir si la Préfecture prendra en compte les propositions d’aménagement du projet de PPRI faites par l’AVIF, et dans quelle mesure ?
J’aimerais également savoir si la Préfecture trouve normale que bientôt 10 mois après la catastrophe, les administrés n’aient toujours pas de moyens de mettre en oeuvre la sauvegarde des personnes et des biens !? Toujours pas de plan de sauvegarde et d’information IMPOSE à la commune et communiqué aux résidents, toujours pas de mesures d’aide (financière ou administrative) aux habitants souhaitant aménager leur habitation par sécurité…
29 disparus, 10 mois écoulés, des décisions administratives hâtives et contradictoires, des vies ruinées, des habitants exilés, des fonds vidés, des habitations bientôt rasées à grands frais, et toujours rien pour la suite, la survie de la commune, les survivants, l’avenir !?
Cette même Préfecture avait pourtant proposé un PPRI en 2005 il me semble avec des critères bien différents : moins de 5 ans après ces mêmes services de l’Etat s’ignorent, se réfutent ? Ou sont la continuité et la cohérence des services publics ?
Ou est l’administration des administrés que nous sommes (et nous payons pour ça) dans ce grand capharnaüm !?
Oui, il y a eu Xynthia, comme il y en a eu d’autres, ici et ailleurs…
et pourtant, les outils sont les mêmes aujourd’hui qu’il y a 5 ans !
Merci à l’AVIF et aux présents de porter ces questionnements lors de cette réunion, et de nous revenir ensuite.
Bien cordialement
La lettre de la Famille Delepinay est la vérité toute entière,elle me touche bcp,
pourquoi ne pas la faire paraître parmi les médias ?…
pourquoi ne pas faire apparaître la lettre de MariePierre Delipanay dasur le journal
Bonjour à toutes et tous, information pour fêter la nouvelle année, les assurances habitations vont augmenter jusqu’à 8% ……..
« Ces hausses « sont plus salées en multirisque habitation, où le poids des événements climatiques est à nouveau très lourd avec la tempête Xynthia et les inondations du Var », précise le quotidien. »
…encore une petite catastrophe en France, et nous aurons le même taux que pour les plus-value de 12,6% !
Marie Pierre, j’ai posté votre lettre sur mon blog, plus il y a de gens qui la liront, médias compris bien sur, plus il y aura de réactions !
Bonjour à toutes et tous, il est bon de s’exprimer comme l’on en a envie, n’est ce pas Marie pierre ? Nous avons toute liberté d’expressions, et vos mots ne sont pas trop forts…mais je crains que le Préfet actuel ne vous réponde.
Ce qui m’a choqué, mais je n’avais pas du le lire, c’est ce que Le Préfet de Vendée dit, des maisons de la pointe de l’aiguillon:
« d’un habitat de médiocre qualité architecturale ».
Cela est inadmissible tout simplement.
Si vous aviez l’article, pourriez vous m’en faire venir une copie par courriel, afin que je demande à mr le Préfet des explications, et lui demander combien lui paye de taxes dans son hôtel du Département.
Je trouve pour ma part, que si excès il y a, le propos est incisif et il y a du désespoir dans cette missive !
Et de l’indignation, et j’aime plutôt cela … Même si je n’en partage pas toutes les comparaisons. Mais cet exil forcé n’est pas sans en évoquer d’autres… Je reste pour ma part attachée à l’État et je ne le confonds pas avec ce qu’en fait l’UMP, ni aucun parti ! Ni même les propos d’un Préfet..
Mais c’est un tout autre débat…
Un excès ….pour répondre à un autre excès…quel dommage !
Ces outrances verbales font oublier ceux qui ne sont plus là, ceux qui n’ont plus de maison, ceux qui ont perdu TOUT ce qui était dans leur maison.
Pour faire respecter sa détresse, il faut commencer par s’appliquer à comprendre celle des autres.
Alors, de grâce, un peu de modération, et un peu plus d’EFFICACITE concrète.
Monsieur le Préfet,
« Qui veut la fin veut les moyens » affirme le dicton.
Par contre, tous les moyens ne deviennent pas forcément respectables lorsque les Français d’en Haut s’adressent aux Français d’en Bas…
Vous aurez compris que nous ne partageons pas du tout les méthodes employées depuis début Mars 2010 et qui suivent le droit fil d’un slogan dégeulasse « Casse-toi pauvre con ».
1- Sur le zonage initial
Il est copie conforme aux zones Natura 2000 qui, à l’époque, n’avaient pas été négociées pour devoir servir à l’extermination de la race humaine.
Une ligne droite même tracée par un Ministre d’Etat ou un Préfet ne peut empêcher l’étalement de l’eau qui ne respecte pas plus les limites de communes.
Le carriérisme ne devrait pas conduire à exclure le raisonnable d’une situation :
– Le préfet du 17 a pensé que l’Ile de Ré n’avait pas souffert outre mesure et son habitat devait être conservé.
– Son homologue de la Vendée s’autorise à une autre analyse en déclarant dans Ouest France du 24/03/2010 que pour la Pointe de l’Aiguillon il doit y avoir destruction totale « d’un habitat de médiocre qualité architecturale ». On peut faire le dédaigneux en se pinçant le nez lorsque l’on est logé somptueusement aux frais des contribuables : on a frisé l’indécence. Depuis quand peut-on lire dans la Constitution que le Préfet n’entendra que ceux qui sont bien logés architecturalement ou issus des quartiers chics de Paris ?
Pour en revenir à La Pointe de l’Aiguillon, il faut que les Autorités sachent que pour des habitations qualifiées de « masures », il est demandé aux alentours de 1500 euros de taxe d’habitation et de foncier bâti !!!
Bizarroïde lorsque l’on aura connaissance que ces résidences principales sont restées + de 3 mois sans électricité ni ramassage d’ordures ménagères sur ordre du Préfet d’après les dires du Maire. Y aurait-il une discrimination raciale entre les habitants de l’Ile de Ré et ceux de la Pointe de l’Aiguillon sur Mer ? Va-t-on revenir aux méthodes de 1943 ?
Mais tout ce zèle et ces déclarations intempestives n’avaient en fait qu’un but : occulter les carences des services préfectoraux. Lorsque le danger imminent de tempête a été connu par la Préfecture, rien de positif n’a été fait. En agissant, on aurait certainement diminué les pertes humaines ? Il faut le dire, l’Etat ne montait pas convenablement la garde. De plus, les services préfectoraux savaient depuis des lustres que les digues étaient mal entretenues alors que le financement était assuré préventivement par les sinistrés de Février. De surcroît, ce défaut d’entretien était aggravé et encouragé par des méthodes écologiques dont il n’y a plus à discuter vus les résultats désastreux. Les ruraux que vous dédaignez avaient averti depuis longtemps. Les sinistrés ne sont pas les responsables mais les victimes d’une gestion bâclée par l’Etat. Les déclarations dans Ouest-France du 9 novembre 2010 de votre Directeur de cabinet sont une preuve de plus que jusqu’à Xynthia, on « roupillait » dans certains de vos services.
2- Sur le projet de PPRI
Copie conforme du zonage initial car ceux qui nous gouvernent considèrent qu’eux seuls détiennent toute vérité, qu’ils n’ont pas à écouter les individus concernés vivant sur place, sachant de quoi ils parlent et voulant que leurs enfants ne soient pas des fils de déportés.
Grâce à un tronçonnage savant, Messieurs Borloo, Ministre d’Etat, et Brot, Préfet, ont distillé sur la commune de l’Aiguillon les zones soumises à déclaration d’utilité publique et les parties épargnées par on ne sait quel coup de baguette magique.
De la période Milcent, on se projette en Deux Mille Cent (2100). Où il y aurait fallu de la clairvoyance, on se lance dans la voyance.
Pour nous, UMP signifie « Un Mépris Profond » de la part de ceux qui détiennent le pouvoir.
La tempête a fait des dégâts certes mais le coup de grâce fut assené par des Autorités Implacables. Comme il était loin l’emblème de la République « Liberté, Egalité, Fraternité ». Heureusement, la Fraternité et la Générosité ont existé et ont émané de personnes qui ont agi avec leur cœur. A toutes et à tous, un grand merci pour tout.
Que dire de la gestion fumeuse de tous les donc collectés par l’Etat et qui devaient aller aux sinistrés ?
Voilà un survol très succinct de la situation sur la commune le l’Aiguillon sur Mer.
Nous vous exprimerons lors de l’Enquête Publique et souhaitons que la logique redevienne enfin d’actualité.
« Errare humanum est, Perseverare Diabolicum » sera notre conclusion.
Les maisons qui peuvent être sauvées contribueront à un respect de l’environnement et atténueront le déficit de l’Etat Français.
Famille de LEPINAY
61, route de la Grande Jetée
85460 L’Aiguillon sur Mer
(résidence principale)
il est clair que cela ne peut être qu’une réunion d’échanges et d’informations mais pas décisionnelle ; étape intermédiaire néanmoins nécessaire pour continuer à passer et appuyer les messages déjà développés par l’AVIF auprés de la préfecture
Bonjour à tous,
Pas de panique, il ne faut pas attendre de miracles d’une telle réunion: la marge de manoeuvre de la Sous Préfète est très réduite. Légalement, il fallait affronter le peuple, donc on le fait et c’est tout. Les remarques faites remonteront sans doute, mais aucun engagement ne sera pris.
Cette réunion aurait du être faite beaucoup plus tôt, lorsque les gens étaient désorientés par la sortie du projet de PPRI!
Je crains, Kiwi, qu’ils n’y ont même pas pensé, comme si les propriétaires étaient tous dans la périphérie !!! Ce sont les maires qui auraient pu le leur faire remarquer, car ils ont des infos là-dessus.
Par contre, sur ton autre remarque, un Sous-Préfet n’a pas d’horaires de bureau, loin de là …
il est évident que les habitants secondaires pourront se rendre une mercredi soir à cette réunion alors même que c’est en pleine semaine un soir a 18h de surcroit???!!!!!
ce rendez vous aurait pu être fait un samedi ou un dimanche mais il arait fallu faire des heures supplémentaires à nos fonctionnaires!!!