Fin février, France 3 consacrera une journée spéciale à la tempête Xynthia. Tout juste un an après les événements climatiques qui ont dévasté une partie de la Charente-Maritime et de la Vendée, la rédaction entière sera mobilisée. Ainsi, Samuel Étienne et Carole Gaessler présenteront respectivement le 12/13 et le 19/20 depuis la côte atlantique. Deux documentaires sur les événements seront diffusés: l’un dans l’après-midi et l’autre le soir, en prime time. Juste après ce dernier, Patrick Poivre d’Arvor, qui pourrait également être sur place, animera un débat, entouré de nombreux invités.
NDLR: précisions sur le programme
– JT délocalisés — 12/13 en direct de La Faute-sur-Mer, présenté par Samuel Étienne et une page spéciale dans le 19/20 en direct de L’Aiguillon-sur-Mer —,
– une prise d’antenne événementielle à 15 heures : 90 minutes présentées par Emmanuel Faure en direct de La Faute-sur-Mer,
– et deux documentaires inédits : Une nuit de cauchemar, de Jacques Barinet, et Xynthia au cœur de la tempête, signé Marc Garmirian et Jean-Christophe de Revière, diffusé à 20h35, suivi d’un débat de 80 minutes animé par Patrick Poivre d’Arvor.
Le 23 février, les antennes et les rédactions de France 3 mobilisées sur le terrain s’accorderont un droit de suite, au plus près des sinistrés.
2 réponses à to “Journée spéciale Xynthia sur France 3 (TV mag)”
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Excellente réaction de la part de Brigitte Devilez, c’est très bien dit !
Une journée entière consacrée à la catastrophe et sur place, en Vendée!
Certain trouveront que c’est trop, que c’est faire une mauvaise pub à nos villages, qu’il faut tenter d’oublier…
Personnellement, je pense que cela fait partie de notre devoir de mémoire. La France entière doit comprendre qu’il faut se méfier des affirmations :« de mémoire d’ancien, on n’a jamais vu ça ! ». Les maires des communes littorales doivent arrêter de se serrer les coudes pour empêcher la mise en place de PPRI raisonnables et doivent prendre au sérieux l’obligation qui leur est faite de mettre en place des plans communaux de sauvegarde.
Détruire des maisons, comme on va le faire dans nos communes, c’est un stress énorme qui s’ajoute à celui des pertes humaines et matérielles.
Si seulement tout ce gâchis pouvait servir de leçon aux décideurs!