• La salle du pavillon des Dunes archi-comble pour cette présentation publique.

    La salle du pavillon des Dunes archi-comble pour cette présentation publique

Le pavillon des Dunes avait rarement connu une telle affluence que celle de jeudi soir. Plus de 500 personnes ont assisté à la réunion publique de présentation du Plan de prévention des risques d’inondation (PPRI), dont l’enquête publique est en cours, ainsi que du Plan submersion rapide (PSR), et du Plan communal de sauvegarde (PCS).

Concernant le plan de prévention des risques, le maire, René Marratier, a déclaré « qu’il faut que les services de l’État prennent conscience qu’il est possible à La Faute qu’il y ait une certaine vie ». Les principaux points de désaccord ? La cote de référence, la prise en compte des digues, et la méthode de mesure des altimétries. Le maire a invité les habitants à venir formuler leurs remarques en mairie.

 

33 réponses à to “Xynthia : la foule pour la présentation publique des différents plans (Ouest France)”

  • monique94 says:

    La ministre de l’Ecologie, Nathalie Kosciusko-Morize,t a indiqué qu’elle présenterait « d’ici janvier » une stratégie nationale de gestion du littoral

    http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2011/11/02/97001-20111102FILWWW00597-littoralstrategie-nationale-d-ici-janvier.php

  • zab says:

    Bravo Brigitte,tout est dit

  • monique94 says:

    Né de l’initiative du journaliste François Blanchard, originaire de La Couarde et lui-même victime de la submersion lors de la tempête Xynthia, l’ouvrage « Les Rétais nous disent… » est un réel devoir de mémoire

    http://www.sudouest.fr/2011/11/02/112-pages-de-temoignages-543139-1570.php

  • brigitte devilez says:

    Patrice,
    La banderole n’est effectivement pas à la « hauteur » du drame vécu. C’est pourtant la seule chose que l’AVIF ait pu « obtenir » par son entêtement : que soit maintenu ce témoignage sur la commune de La Faute. Cette banderole a été enlevé du centre ville où nous l’avions érigée quelques jours après sa mise en place ! (pour ne pas faire fuir les touristes)

    Il est émouvant de voir que des fleurs y ont été déposées ce week-end et que des personnes « étrangères » à la commune viennent s’y recueillir.

    L’AVIF travaille au côté des familles de victimes pour qu’un véritable mémorial voit le jour. Nous nous fixons l’anniversaire 2013 pour y parvenir. Récolte des fonds, choix du monument et obtention du terrain ne sont pas des choses simples pour une association dénigrée sans cesse par la municipalité qui veut rester dans le déni du drame… Mais notre force réside dans la ténacité et dans le soutien moral de personnes telles que vous.

  • patrice says:

    je viens de passer a la faute sur mer , je n’y étais jamais allé depuis xynthia.
    mes cousins ont été touchés a moindre mal, sur Champagné les marais.
    les démolitions ont commencé je suis surpris de voir une maison seule au milieu de la première partie de la démolition…..
    après tous ce temps j’ai eu mal de voir les noms des victimes sur cette banderole posée a même le sol maintenue par des cailloux.
    que va devenir cette espace ?
    quand sera ériger un monument

  • Fourment says:

    Justement Dominique ,je ne suis pas persuadé que les points rouges sur la carte de la mairie soient toujours exacts aussi surprenant que cela puisse être ,je m’appuie sur mon cas personnel avec doc du géomètre à l’appui pour rappeler ce point (donc vigilance)..

  • Dominique says:

    Le géomètre, que j’ai fait venir la semaine dernière m’a dit que son entreprise avait fait, pour la commune un nouveau relevé . Ce sont les ponts rouges qui figurent sur l’ancienne carte exposée à la mairie .

  • Fourment says:

    Je voudrais faire ,pour mémoire ,une remarque basique mais qui pourrait avoir son importance pour certains:les points altimétriques NGF officiels au PPRI ont été relevés par passage avion (le procédé Lidar 1 point de mesure au m2 ) or compte tenu ,que ce n’est plus la cote terrain mais plancher qui compte ,toutes les maisons ayant le 1er plancher au dessus du terrain , avec marches ou dénivelés couverts,ne verront pas leur cote reelle plancher sur le plan du PPRI d’ou nécessité de commenter au registre avec appui du document du géomètre.

  • Fourment says:

    Bonjour Renaud : suis pas sûr mais il semblerait que nous soyons à l’heure ancienne sur le site ?
    Bon Wkend

  • Fourment says:

    Musette :la corde semble avoir été lâchée ,les préfets ont , semble-t-il ,reçu récemment instruction de levier le pied pour ce qui concerne la loi de décentralisation et la mise en oeuvre de l’intercommunauté;la date limite de cette dernière étant repoussée à fin déc 2013 .
    (c’est un impact parmis d’autres de la nouvelle majorité au sénat)
    donc , dans notre cas ,j’aurais tendance à penser que nous allons « résider » dans un no man’s land (statut quo)jusqu’au dernier moment!

  • Musette says:

    Où l’on apprend que dans certains conseils municipaux, on vote à bulletin secret… Ce devrait être une règle de fonctionnement ! Suivez mon regard…
    Quant à cette décision, elle ne m’étonne pas. Mais est-ce que le Préfet laissera faire ?

  • raslebol says:

    Le conseil refuse l’intégration de communes au Pays né de la Mer – Triaize
    jeudi 27 octobre 2011
    ——————————————————————————–
    O F 27 10 2011

    TRIAIZE
    Le conseil municipal s’est prononcé sur l’entrée des communes de L’Aiguillon-sur-Mer, La Faute-sur-Mer et La Tranche-sur-Mer dans la communauté de communes du Pays né de la Mer. Suite à un vote à bulletins secrets, le conseil est d’accord pour l’intégration de L’Aiguillon-sur-Mer avec 9 voix pour, 5 contre et 1 blanc. En revanche, il refuse l’intégration de la Faute (6 pour, 7 contre, 2 blancs) ainsi que La Tranche (3 pour, 11 contre, 1 blanc).

  • wenesday says:

    Bonjour,

    Je vois que les constructions sur pilotis sont citées comme une solution possible aux problèmes de l’urbanisme local.
    Il me paraîtrait prudent, avant d’avancer une hypothèse de ce genre, de s’intéresser à la nature du sous-sol… A ma connaissance, il est sablo-vaseux, et je pense qu’il faudrait descendre très profond pour s’accrocher sur du « dur ». Avec, par conséquence, des surcoûts sans doute trop importants pour rendre cette solution viable dans la très grande majorité des cas.

  • lafautakidon says:

    A ceux qui rêvent de maisons sur pilotis, allez voir en Louisianne.
    Au premier gros coup de vent, les maisons se tordent.
    Si vous avez des amis architectes, consultez-les.
    Les maisons structure bois sont proscrites en bord de mer à cause du vent.
    Juste pour information, pas pour casser le moral

  • sophie85 says:

    bravo mr pinoit pour votre combat, je vous respecte pour cette démarche ,ainsi que tous les membres de l’avif, et ceux qui se battent à charron.Votre combat est humain avant d’être politique mais dans cette commune de la faute,je pense que certains ont l’esprit « envasé ».facile de toujours se défendre sous l’aspect politique du problème….l’ambiance semble vraiment malsaine.courage les amis ne baissez pas les bras, le combat sera long avant que justice ne se fasse……alors les pouces rouges qu’avez vous prévus en ce long weekend??????????tagger les murs des membres de l’association,cracher à la figure des familles qui se rendront au cimentière?????pensée à gisèle, (prenez soin de vous),et comme le dit si bien madeleine prendre tout ceux qui pensent que les digues sont efficaces, les prendre par la peau des fesses et leur mettre la tête dans les trous , pour constater les soucis de cette digue, entre les militants de votre seigneur, et les pouces rouges, cette digue finira étanche!!!!!!!!un peu de courage les pouces rouges personne ne vous empêche de vous exprimer librement sur ce blog, mais ne serait ce pas de la lâcheté??????????

  • jacquotte says:

    Bravo Renaud bien envoyé.
    Monseigneur est indécrottable! Seuls ses intérêts (eventuellement ceux de son équipe) et sa personne comptent dans cette commune.
    défendre les intérêts de ses administrés celà fait bien partie du job de maire il me semble.c’est vrai que La Faute est une commune spéciale.Comme je vous plein tous.
    encore merci à l’AVIF

  • Musette says:

    Chers amis, je viens de passer en voiture rue des voiliers et au-delà…J’en suis retournée. C’est comme s’il y avait eu un bombardement sur La Faute. Une vision d’horreur, de destruction, de néant. Je déconseille à ceux qui ont vécu là de venir, ce serait insupportable pour eux. C’est d’une telle violence que j’ai dû m’arrêter pour reprendre mon souffle.
    Comment ce type peut-il continuer à pérorer, à se regarder dans une glace, en étant le responsable d’un chaos pareil ?
    A quelle somme de dénis et d’irresponsabilités faut-il arriver pour oser jouer les gros bras et encore faire fi publiquement de la sécurité de la commune ?
    Écoeurant.

  • fauxfautais99 says:

    Je fais partie de ceux à qui on a vendu un terrain au départ spongieux mais, grace à vos gentils lotisseurs, remblayés d’environ 80 cm et en plus à l’abri d’une digue et de pompes de refoulement (dixit documents de lotissement des Doris). Résultat: de l’eau jusqu’au toits et 29 morts.
    Les digues ont été rehaussée(ce qui ne les rend pas moins fragiles) mais on prévoit une montée de la mer d’autant. La prochaine fois il y aura 3,70 m d’eau derrière les digues. Alors quelques pelletés de sable et de mauvais gravats, deux trois parpaing de plus et pas de problème…

  • brigitte devilez says:

    Bildan, désolée, j’ai répondu un peu vite…
    c’est vrai, j’avais oublié la solution qui consiste à supprimer tout ce qui existe à la Faute et à rehausser notre presqu’ile à la cote 4,70m ( oui, tant qu’à faire il faut se projeter dans 100 ans).

  • brigitte devilez says:

    Bildan, c’est sans doute de l’humour….
    Si vous voulez remblayer votre terrain, il faudra d’abord vous opposer à la disposition titre II, chapitre 1 du règlement du PPRI (page 11).
    Ensuite, il faudra soit changer les lois de la physique et de l’écoulement des eaux soit sacrifier votre voisin qui lui, a construit depuis des années sur un terrain non remblayé.
    A moins que vous ne disposiez d’un très grand terrain (ce qui est chose rare à La Faute) qui vous permette de créer un îlot artificiel…
    Les constructions sur pilotis me semblent personnellement beaucoup plus raisonnables mais pour que tout cela soit négociable avec les services de l’Etat, il faudra sans doute passer par la case « changement de maire » car le nôtre traîne beaucoup trop de casseroles pour que l’Etat puisse lui accorder une oreille attentive.
    J’arrête là : on va encore me dire que je fais de la politique…

  • BILDAN says:

    @Brigitte Devilez
    Pourquoi le remblai ne serait-il pas une bonne idée???
    La commune de La Faute représente une surface de 7.3km².
    Pour rehausser les terrains il faut compter environ, à peu près, 1 million de camions de 25t, c’est un espoir d’avenir pour les sociétés de transport locales.
    N’est-ce pas qu’elle est bonne cette idée là !!!

  • Madeleine says:

    A tous ceux qui, comme moi, se révoltent devant l’attitude de MONSIEUR.
    Comme « arracheur de dent » il se pose là. Oui, il faut bouger, mais que faire devant cet ignoble personnage si fier de ses digues… le prendre par la peau des fesses et lui mettre le nez dans les trous de ses digues ?
    Si l’un d’entre vous a une idée, qu’il le dise et vite car nous courrons à notre perte. MONSIEUR a avoué, « après l’adoption du PPRI, ce dernier sera révisable en fonction de la fiabilité des protections, mais ce sera très difficile » Alors ne faudrait-il pas mettre les bœufs avant la charrue plutôt que de faire l’inverse, et que les pouces rouges se le tiennent pour dit, la poignée que vous êtes petits toutous derrière MONSIEUR ne sauraient nous impressionner.

  • BILDAN says:

    Après les propos « très rassurants » de notre « bon » maire sur la solidité des digues de La Faute, je me pose la question de savoir qui est le gagnant du jeu du plus gros menteur: Le Préfet ou le Maire ?
    La cause de tous nos tourments est finalement le PPRI qui est l’enjeu pour ces deux féroces concurrents. L’intérêt des habitants est bien sûr totalement oublié.
    Pour l’instant Pincemi et Pincemoi sont dans le même bateau…

    Pour les indemnisations des travaux Mr le Maire dit qu’il n’a pas attendu l’AVIF pour se poser la question et résoudre le problème et qu’il suffit de prendre rendez-vous avec Mme ROY ou Mme BOURHIS pour obtenir l’aide de L’ANAH.
    Ces aides, toujours précieuses, ne concernent que les logements sinistrés des RESIDENTS PERMANENTS et sont sous conditions de ressources.
    Pour les propriétaires de résidences secondaires, trois ou quatre fois plus nombreux, et tout autant contraints de faire des travaux de mise en sécurité, pour eux rien, pas un mot du « Bon » Maire.
    Peut-être le fond Barnier?
    Si quelqu’un sait à qui il faut s’adresser pour obtenir les, peut-être, 40% des 10% de la valeur vénale du bien (avant ou après la tempête ???), qu’il nous le dise.
    S’il vous plait, Mr le Maire, donnez nous des réponses sur ce sujet qui préoccupe ,des non-électeurs, mais qui représentent plus des 3/4 des payeurs d’impôts locaux de la commune.

  • eh bien PINOIT!!

    Ca c’est envoyé. Comment après cequi s’est passé en 2010 on peut encore être à ce point dans le déni.

    Peuple fautais réveille toi. On te gruge on se sert de toi pour protéger des intérêts personnels, pour ne pas tomber. Il est certain que le maire et les services administratifs devaient impérativement nous prévenir nous les anciens faux fautais que nous étions en danger depuis le PPRI par anticipation que le Préfet avait imposé au maire et que notre malheur est bien venu de là. Car si le PPRI avait été respecté, on aurait pas pris La Faute comme exemple sur la France entière.
    Les nouveaux batisseurs après cette date devaient être inform&s par le notaire agences et mairie du danger de la zone inondable. Si cela n’a pas été fait sur les actes et les compromis de vente des agences, il y a faort à parier que plus d’un va sauter sur la faute, donc relisez bien vos actes et compromis, car c’est de là que vous pourrez après 2007 attaquer pour non protection.
    En ce qui concerne les autres fautais ils auraient tous recevoir une lettre recommandée pour les prévenir et là seulement tout un chacun aurait pris ses responsabilités de rester ou de partir.
    C’est sur cette base que l’on gagnera pour ceux qui ont attaqué au pénal pour mise en danger de la vie d’autrui, seul point pour l’instant pris en compte pour l’instant, hélas puisque la prise illégale d’intérêt n’est pas retenue pour l’instant, mais peut encore l’être plus tard.
    Je suis fière de toi mon PINOIT AU FAIT TON PRENOM EST RENAUD MAIS LE MAIRE QUI TE COTOYAIT DEPUIS DE NOMBREUSES ANNEES NE LE SAIT PEUT ETRE PAS (manipulation publique dévalorisante afin de servir l’intérêt privé, mais qui ne sert pas l’intérêt public des fautais)

  • Musette says:

    Bravo, Renaud ! Je n’en attendais pas moins du vice Président de notre association, maltraité publiquement comme s’il était un voyou !
    Même à l’Assemblée Nationale, les députés de tous bords se parlent en respectant leurs titres et appartenances . Mais il est vrai que La Faute sur mer est un état dans l’Etat où rien ne se passe comme ailleurs ! Sa seigneurie ne ferait tout de même pas comme un ministre en exercice, fut-il Premier Ministre !…

  • Renaud Pinoit says:

    Nous sommes effectivement lors d’une réunion publique confrontée à un mur, j’ai eu l’audace entre guillemet de prendre la parole à titre personnel lors de cette manifestation, le débat fut vite déplacé sur un plan pseudo politique, l’AVIF contre la commune.
    Le marquage des personnes est inéluctable, et si j’en fait parti j’en suis fier, oui nous défendons les gens qui en ont des besoins et qui nous ont appelé à l’aide et il en reste malheureusement une flopée, oui nous nous battons en permanence face à une commune qui n’est à l’écoute que d’elle même, et je parle des élus.
    Pas de langue de bois sur la suite des évènements concernant le PPRI, il est inévitable que dans l’état actuel des choses, les protections ne sont pas satisfaisantes ni pour l’état ni pour une partie de la population ainsi que l’AVIF.
    90% de la commune sera en rouge en fin d’enquête.
    Je répète donc ce que j’ai essayé de dire lors de cette réunion, le PPRI ne sera modifié qu’à la marge et si le préfet le désire.
    Dans les années futures… il pourra être révisé si le maire en fait la demande auprès des services de l’état et à une seule condition: si et seulement si les protections digues et autres sont satisfaisantes contre les aléas locaux.
    En attendant, le fond Barnier, déjà bien entamé pour les acquisitions amiables, ne permettra pas et cela n’est pas son but, de payer la totalité des travaux obligatoires sur les maisons concernée par le règlement pour les familles les plus modestes, au mieux 40% des frais serons subventionnés.
    Il est donc de bon aloi de peaufiner une aide aux Fautais pour pouvoir se mettre en conformité avec ce règlement et de ne pas se voir refuser une police d’assurance sous peine de non respect des règles locales.
    Quand on parle de social ou de défendre les fautais dans cette commune, nous sommes des extra terrestres pour les élus.
    Monsieur le Maire je sais que ceci ira à vos oreilles, cela de vous dérange pas de me nommer « Pinoit » en pleine réunion publique, votre non respect le soir de cette manifestation montre votre estime face à un représentant des victimes et me conforte sur un point, mobiliser et nous battre pour que la vérité soit faite, que la langue de bois cesse dans le futur pour le bien de notre commune.

    Et pour finir comme vous: L’enfer, c’est d’avoir perdu l’espoir. (Archibald Joseph Cronin)

  • cestquoiceborbel says:

    En tout état de cause, nous avons un dénie parfait de la situation, une position qui une fois de plus « impose » aux fautais (faux?) une réalité qui n’est pas la bonne. (« Nous avons des digues en parfait état »)
    Tout ceci devient énervant sachant qu’une partie de la population donne raison au maire (sont ils sous emprise ou bien quelque chose à se reprocher?), ouvrez les yeux les gens, les fautais, vous êtes en train de vous faire floué, nous pouvons en reparler dans les 6 mois à venir.
    Comment peut on dire que tout va bien dans le meilleur des mondes en ce moment alors que les (faux) fautais sont inquiets pour l’avenir de leurs biens immobiliers
    En ce moment, 90% de la commune est en rouge et le restera à la fin décembre et ceci pour le LONGUES années (il faut faire les digues en conformité avec les exigences de l’état puis ensuite redemander aux services publics de réviser le PPRI, bref on est pas « sorti de l’auberge »).
    Parfois tout ceci ne dépasse, mais restons unis contre ce despotisme, et battons nous pour que le mutisme du conseil municipal ne soit qu’un mauvais souvenir.

    Ps: dépêchez vous d’allez voir les commissaires enquêteurs, si quelque chose est défendable, c’est le moment.

  • fauxfautais99 says:

    @vendre
    Je peux vous comprendre, mais les souvenirs perdus nous ne les retrouverons plus. Nous n’avons pas tous vécus les mêmes situations mais je n’aurai pas pu envisager de remettre en jeu la vie de mes enfants et petits-enfants, sachant que le seul objectif est que rien ne change, sauf ce que l’état leur impose. Si vous trouvez un terrain en sécurité, ce que je vous souhaite, demandez vous à qui vous le devez.
    En tout cas je trouve un peu « gonflé » que ce soit le maire de La Faute qui demande à l’état de prendre conscience.

  • vendre says:

    oui,je cherche un terrain à la faute pour reconstruire.
    j’en ai loupé un a 15 jours pret.
    45 ans de vacances en maison secondaire.
    je reviendrais………
    salutations.

  • fauxfautais99 says:

    « il faut que les services de l’État prennent conscience qu’il est possible à La Faute qu’il y ait une certaine vie »
    A titre personnel, j’aurai bien aimé me réinstaller à La Faute. Xynthia a fait que j’ai pris conscience que l’on m’a vendu un terrain constructible inondable (2,50 m quand même !) mais que quand on l’a su et que l’on a rendu les dernières parcelles inconstructibles, ni le maire, ni le service d’urbanisme qui m’ont délivré ce permis ne m’ont averti du danger et préconisé des mesures de sécurité.
    Presque deux ans après, on en est toujours dans la même attitude de dénis et d’irresponsabilité. Si l’on ne peut pas toujours prévoir les déchaînements de la nature, conjonction de trois facteurs ce jour de malheur, je crois que pour La Faute, l’état prend en compte ce facteur aggravant qu’est votre maire. Au lieu de vous aider, il fera fuir les éventuels candidats à l’installation. Je peux en témoigner, j’en fais partie.

  • frederic says:

    traduction … rentre chez toi …

  • frederic says:

    un commentaire… mon seigneur…. Go Home ! .

  • brigitte devilez says:

    Notre journaliste a oublié de dire que pour le Maire il y a encore des possibilités de construire… en remblayant (sic)

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