Nom du dossier : | Expropriation des biens exposés au risque de submersion marine –L’Aiguillon sur Mer | ||||||||
Date de début : | 19/12/2011 | ||||||||
Date de fin : | 27/01/2012 | ||||||||
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Nom du dossier : | Expropriation des biens exposés au risque de submersion marine – la Faute sur Mer | |||||||||
Date de début : | 19/12/2011 | |||||||||
Date de fin : | 27/01/2012 | |||||||||
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16 réponses à to “Expropriation des biens exposés au risque de submersion marine (Préfecture)”
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à Madeleine,
Je ne parlais pas que des élections locales !!!
la vidéo dont parle Denis devrait être visible avec ce lien :
http://youtu.be/xouGIRyI4OU
@LaFaute
Avec le recul,je serais resté.
Salutations.
@ BRISTIEL Denis
La montagne de gravats sur cette photo,
c’est une partie de ma maison.
Il faut réfléchir avant de dire des conneries.
Salutations.
[img]http://youtu.be/xouGIRyI4OU[/img]
pour ceux qui sont loin c’est une video de phots de la zone en cours de « déconstruction »
Si admin pense que c est trop « lourd » , il enlève
Rien de bien nouveau dans ces documents mise à part l’expertise chiffrée ,tout le reste figurait dans les précédents rapports.
Le pb d’utilisation des palplanches n’est pas qu’un pob d’accés mais aussi de technicité lié à la tenue des sols.
Pour tous ,il est évident que dans cette présentation ,2 paramètres ne sont pas mis volontairement en exergue :
1 le coût de l’évolution des digues (reprise construction et entretien) en tant que nécessité pour l’ensemble de la commune et donc à ne pas comparer seulement au coût des acquisitions faites par l’Etat (amiables) ou à faire(expropriations)
S’il n’y avait pas eu d’acquisitions par l’Etat ,de toutes façons ,les digues restaient à réaliser et donc leur coût avec!!!!!
2 Le fait de mettre en avant le coût des expropriations et les comparer aux coûts des digues sans prendre en considération le coût des acquisitions amiables qui d’ailleurs n’auraient pas été si nombreuses si pas obligatoires dans la 1ére phase et si la population avait également été informée que soudain ,ces digues si longtemps restées sans entretien ,pouvaient se reconstruire aussi vite !!
En final ,nous aboutissons toujours au constat d’un évènement exceptionnel ayant fait beaucoup de dégats pendant mais aussi aprés ,de la part de représentants de l’Etat par une mauvaise coordination et une communication médiocre …
LaFaute,
Tout le monde n’a pas été mécontent de vendre à l’Etat sa maison dévastée.
Digue ou pas, nous n’aurions pas pu revivre dans notre maison, psychologiquement c’était au-dessus de nos forces.
Merci les amis pour vos commentaires documentés et techniques. J’avoue, que bien que sachant ces documents essentiels, ils me tombent des mains et je suis ravie qu’on fasse le boulot pour moi, je l’avoue !..
[img]http://img263.imageshack.us/img263/4445/dsc02885d.jpg[/img]
A propos de ces montagnes de gravats des déconstructions je reste persuadé qu’il aurait été possible de s’en servir comme matière première pour renforcer les digues . Certes ce sont des marchés et des appels d’offre différents mais la DDTM aurait pu y penser, mais sans doute trop évident et pas assez « juteux »………..
Oui, une gestion déplorable,mais il ne fallait pas s’attendre à mieux, par contre, La Faute, je vous trouve bien optimiste pour les prochaines élections, ils ont de la vase dans les yeux et même un tsunami ne la balaierait pas.
Une pensée pour nos amis d’AZF, le procès en appel commence aujourd’hui
« L’ancien juge antiterroriste Jean-Louis Bruguière devrait être entendu mardi dans le procès en appel de la catastrophe de l’usine AZF en 2001. »
http://tempsreel.nouvelobs.com/societe/20111218.FAP9099/le-juge-bruguiere-entendu-mardi-au-proces-azf.html
Tout à fait d’accord avec Brigitte et Denis.
De toute façon, pour protéger le village les digues devront être refaites. Avec le coût des indemnisations, des démolitions et évacuations des gravats, du nettoyage du site, l’Etat aurai pu préserver ce patrimoine immobilier et aurai fait moins de mécontents.
Mauvaise gestion de cette catastrophe, les électeurs s’en souviendront le moment venu !
N’oubliez pas, ce soir, conseil municipal à 18h15.
To admin il ya moyen de déplacer ces cpmmentaires « judicieux » à la bonne place ?? Merci
brigitte dit :
19 décembre 2011 à 22 h 28 min
Je suis d’accord avec vous Denis.
je rajouterai simplement que les digues devront de toutes façons être refaites pour protéger les habitations qui ne sont pas en zone d’expropriation!
Donc le calcul est complètement faussé….
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BRISTIEL Denis dit :
19 décembre 2011 à 17 h 36 min
La lecture des documents concernants l’enquete s’avere fort compliquée mais tres instructive …. En effet sous reserve de « re calculs » fait à froid il me semble que ces « experts » donnent des indications sur les couts et surtout le rapport entre cout des expropriations restantes (donc 17 ) et le cout de mise ne conformite des digues tres interressant . En effet si on rajoute le cout des indemnisations déjà faites dans le cadre des zones de solidarité cela change completement les résultats et auraient pu conduire à d’autres conlusions que celle prises dans l urgence apres XINTHIA. Ceci étant ces etudes donnent des pistes quand aux travaux à réaliser d urgence.
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Comme d’habitude, c’est une gestion à court terme …
Nos politiques ne voient pas plus loin que leurs prochaines élections!
L’intéret général ???? Je crois même qu’ils ne savent plus ce que c’est!
On apprend dans le texte d’accompagnement :
– que le coût des expropriations des 17 habitations sur La Faute est estimé à 5,6 M €. On ne fait pas mention du coût des démolitions.
– que le coût d’une digue en terre de 5m de large en crête, surmontée d’un muret de béton avec enrochement côté mer sur une longueur de 3km est de 4 M€ TTC
– que le coût d’une digue avec palplanches sur la même longueur serait plus solide mais monterait à 11,4 M€ TTC.
Conclusion de l’Etat : démolir coûte moins cher qu’une digue solide. Et comme le fonds Barnier ne peut légalement être utilisé que pour la solution la moins coûteuse, on exproprie.
On oublie, comme le dit Denis Bristiel, de compter le prix des habitations sorties de la zone dangereuse et tout de même rachetées par l’Etat.
On occulte surtout le fait que, quoiqu’il arrive, les digues devront être refaites pour protéger le VILLAGE TOUT ENTIER !
Alors utilisons ces 5,6 M€ à consolider sérieusement nos digues ! N’utilisons les palplanches que là où la digue ne peut pas être élargie (car empiètement sur le DPM).
On pourrait même y rajouter le million d’euros qui sera nécessaire à payer le ténor ! Je rappelle aux pouces rouges que la solidité des digues est un argument majeur pour l’assouplissement du PPRI!