Archive pour septembre 2014
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Jean-Marc Raffy, directeur d’enquête, alors capitaine à la section de recherches d’Angers. | Laurence Savary
Le directeur d’enquête a pointé la responsabilité de la municipalité de La Faute, par sa résistance et ses manquements, et le dysfonctionnement des services de l’Etat.
L’audience de ce mardi après-midi a été consacrée au témoignage, sous serment, de Jean-Marc Raffy, directeur d’enquête, alors capitaine à la section de recherches d’Angers. Désormais chef d’escadron affecté au centre multimédia de la gendarmerie à Limoges, il est intervenu pendant quatre heures, exposant un an et demi d’enquête minutieuse, « un dossier aux multiples facettes techniques argumenté de références ».
« Il fallait retracer les circonstances des décès. Il s’agissait aussi d’aborder une partie concernant l’urbanisation, reconstituer le processus de submersion et l’identifier ». Mais aussi « déterminer par où l’eau était venue pour identifier les ouvrages défaillants et les responsabilités. »
L’enquête a également dû « identifier les conditions juridiques dans lesquelles les habitations ont été édifiées notamment face aux risques environnementaux ». Il a fallu mener des investigations « sur la digue Est, ouvrage défaillant, connaître les mesures de surveillance, le cahier des charges et s’intéresser à la gestion de crise ».
« L’ignorance de la population »
Concernant l’Etat, l’enquête révèle des administrations, en Vendée, « très fragilisées par des organisations successives, des services cloisonnés et insufisamment coordonnés ».
Jean-Marc Raffy a montré, par ses propos, une volonté des préfets successifs de mettre en œuvre le plan de prévention des risques et d’inondation (PPRI), la résistance des élus, et le dysfonctionnement des services de l’Etat qui a conduit à des anomalies. Comme cette construction autorisée en zone rouge, inconstructible, « suite à une erreur d’instruction reconnue ». Jean-Marc Raffy a la conviction, à l’issue des investigations, que « la municipalité profitait que le service instructeur se prenait les pieds dans le tapis pour délivrer des permis de construire non conformes ».
Il parle aussi de « la culture du risque absente au conseil municipal » et « de l’état d’ignorance de la population. Des témoins ont fait part du peu de connaissances des événements historiques. L’information n’était pourtant pas difficile à trouver. »
A la barre se tient un homme, petit de taille, grand par sa fonction, redoutablement adroit dans son verbe. Thierry Lataste, ancien préfet de Vendée, est aujourd’hui directeur de cabinet du ministre de l’intérieur Bernard Cazeneuve, après avoir exercé les mêmes fonctions auprès de son prédécesseur place Beauvau, Manuel Valls.
Cité comme témoin au procès Xynthia devant le tribunal de grande instance des Sables d’Olonne, lundi 29 septembre, il n’a pas grand chose à craindre. D’une part, parce que ses attributions du moment au sommet de l’Etat lui confèrent une indiscutable autorité sur ses interlocuteurs et d’autre part, parce que ses prérogatives à la tête du département ont pris fin le 14 février 2010, soit quelques mois avant que la tempête Xynthia ne déferle sur les côtes vendéennes et entraîne la mort de 29 personnes à la Faute-sur-Mer.
Fort de cette double sécurité personnelle, il a livré, entre les lignes, une illustration de la schizophrénie nationale, qui veut moins d’Etat quand tout va bien et plus d’Etat quand les choses tournent mal.
Lorsqu’il est arrivé en Vendée, en juillet, 2007, Thierry Lataste savait que, parmi les tâches qui l’attendaient, figurait la mise en oeuvre d’un plan de prévention des risques d’inondation (PPRI) dans plusieurs communes littorales du département.Celle de La Faute-sur-Mer comptait à la fois parmi les plus concernées et les plus récalcitrantes. Aux injonctions et interdictions préfectorales répondaient de multiples procédures intentées par le maire René Marratier avec l’appui de son conseil municipal, devant le tribunal administratif. « Le comportement de déni du maire de la Faute-sur-Mer était tout à fait caractérisé. C’est ce que j’ai rencontré de plus difficile à faire bouger dans toute ma carrière » observe Thierry Lataste.
Une attitude dont il relève toutefois qu’elle n’est pas isolée parmi les élus municipaux, surtout dans les communes où s’exerce une forte pression foncière. En écho aux propos de l’historien Thierry Sauzeau, entendu au deuxième jour du procès, le préfet constate qu’ « en France, le risque s’oublie, le risque se néglige, et la trace des catastrophes s’efface vite ». « Les représentants des services de l’Etat sont perçus comme venant de l’extérieur, n’ayant aucune connaissance de la réalité communale dont seuls les élus seraient détenteurs », poursuit-il. Il ajoute: « La loi littoral a été votée au milieu des années 80 et n’a toujours pas ses décrets d’application. Et à chaque législature, il se trouve des élus pour tenter d’alléger ses contraintes ».
Aux avocats des parties civiles qui s’étonnent que le préfet n’ait pas « tapé du poing sur la table » face au maire de la Faute-sur-Mer et à son attitude dilatoire, aux conseils des prévenus qui tentent à leur tour de pointer la défaillance de ses contrôles, Thierry Lataste répond courtoisement que ceux qui reprochent aujourd’hui à l’Etat sa lenteur dans la mise en place des plans de prévention des risques étaient ceux-là mêmes qui exigeaient hier de sa part plus de concertation. Il évoque la circulaire signée du ministre de l’écologie, Jean-Louis Borloo en juillet 2007 sur « l’élaboration concertée » des plans de prévention des risques entre l’Etat et les communes. « Les services de l’Etat qui étaient engagés dans des négociations difficiles avec les communes se sont sentis affaiblis par cette circulaire », affirme Thierry Lataste.
Le président Pascal Almy plonge dans son dossier et cite quelques extraits du texte qui appelle les préfets à veiller à la « maturation collective » des décisions, au « dialogue continu avec les collectivités », à la « prise en compte des dynamiques territoriales en jeu, des stratégies et des contraintes de développement ». Thierry Lataste goûte cet opportun rappel.
– Je vous remercie de cette lecture, Monsieur le président.
Et comme l’occasion lui est donnée de renvoyer chacun à ses responsabilités, il ajoute:
– Je vous invite à relire, comme je l’ai fait pour cette déposition, les articles publiés dans la presse quotidienne régionale avant Xynthia. Vous verrez que les services de l’Etat sont toujours en accusation sur le trop plein de contraintes qu’ils imposent et que l’on y salue avec constance la résistance opposée par la municipalité…
Pascale Robert-Diard
Renaud Pinoit, président de l’association des victimes de La Faute, et Antonin Lévy, l’un des avocats de l’ancien maire, s’expriment.
« Ça fait quatre ans et demi qu’on attend ce pardon, que les victimes ne sont pas reconnues. Pour nous, ce pardon, ça ne change rien. On ne le retiendra pas », déclare Renaud Pinoit, président de l’association des victimes de La Faute.
Pour Antonin Lévy, l’un des avocats de René Marratier, « il est simplement venu dire qu’il ne se reconnaissait pas dans le portrait qui avait été fait de lui. Ce n’est pas celui de l’homme que je connais depuis quatre ans. »
« Je n’ai sûrement pas eu les mots qu’il fallait », a reconnu lundi l’ancien maire de La Faute-sur-Mer (Vendée), René Marratier, devant le tribunal correctionnel des Sables-d’Olonne, au dixième jour du procès de la catastrophe. « Je me sentais responsable de ne pas avoir compris ce qui allait se passer cette nuit-là. Je m’en excuse », a-t-il déclaré à la barre d’une voix tremblante. Il a souhaité intervenir après les auditions des victimes qui ont, pour certaines, pointé du doigt son inaction et son manque de compassion lorsqu’elles sont venues témoigner les jours précédents.
« Je ne me suis pas reconnu dans l’homme qu’on vous a décrit. Je ne pense pas être cet homme-là et pourtant c’est comme ça que les parties civiles me voient. C’est dur, très dur à entendre », a-t-il expliqué, visiblement ému et s’aidant de notes posées devant lui, au dixième jour d’audience d’un procès qui cherche à établir les responsabilités du drame qui a fait 29 morts le 28 février 2010 à La Faute-sur-Mer. « Je m’interroge sur ce que j’ai pu faire, dire, ne pas dire, pour blesser chacune et chacun d’entre vous. Certains disent que c’est trop tard, mais je veux quand même vous dire qu’au lendemain de la catastrophe, j’étais K.-O. debout devant l’ampleur du drame qui vous frappe », a-t-il assuré.
Silence
« Je me faisais, et me fais, tant de reproches que je n’ai pas pu aller sûrement vers beaucoup d’entre vous. Je reste persuadé que cette catastrophe m’a fait me replier dans le silence. J’ai alors cru qu’il fallait que je me consacre à la reconstruction de La Faute-sur-Mer, tout remettre en marche », a expliqué l’ancien maire, aujourd’hui conseiller municipal de sa commune. René Marratier a alors conclu : « Je veux bien vous demander pardon », non seulement pour cet apparent manque de compassion envers les victimes, mais aussi pour n’avoir pas pris conscience du risque qui menaçait la commune la nuit de la tempête.
Cinq personnes physiques, dont René Marratier, comparaissent, principalement pour homicides involontaires, ainsi que deux entreprises de construction en tant que personnes morales, lors de ce procès auquel participent plus de 120 parties civiles. Le procès doit se terminer le 17 octobre. Le jugement sera rendu le 12 décembre.
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Suite à l’audition des victimes et au déplacement du tribunal à La Faute-sur-Mer jeudi dernier, René Marratier, ancien maire de la commune, a souhaité faire une déclaration. | Franck Dubray
Au début de l’audience cet après-midi, l’ancien maire de La Faute-sur-Mer a souhaité faire une déclaration. Il s’est adressé au tribunal et aux victimes.
« M. Le Président, je souhaite dire quelques mots après les premiers jours d’audience consacrés aux victimes. Je ne me suis pas reconnu dans l’homme décrit. Je ne pense pas être cet homme-là. Pourtant, c’est comme cela que les parties civiles me voient. C’est dur, très dur à entendre. Depuis le début de ce procès, je m’interroge sur ce que j’ai pu faire, dire, ne pas dire pour blesser et choquer chacun et chacune d’entre vous.
Certains diront que c’est trop tard mais je veux quand même vous dire qu’au lendemain de la catastrophe, j’étais KO debout devant l’ampleur du drame. Je n’ai peut-être pas eu les mots qu’il fallait. Je m’en excuse. »
« Je me fais tant de reproches »
« Je me sentais responsable de ne pas avoir, sûrement, cette nuit-là, compris ce qui allait se passer. Je m’en excuse. Je ressentais aussi de la colère à mon égard, relayée par les regards, les plaintes, les interviews, le blog.
Je me faisais et me fais tant de reproches que je n’ai pas pu, sûrement, aller vers beaucoup d’entre vous. Je reste persuadé que cette catastrophe m’a fait me replier dans le silence. J’ai alors cru qu’il fallait que je me consacre à la reconstruction de La Faute-sur-Mer. C’est ce que j’ai voulu faire je pense. En y consacrant toute mon énergie, les services de la Ville aussi, malgré ce que vous avez ressenti. Je remercie les adjoints, les employés communaux, les associations, les gars et les filles de la commune qui ont œuvré 7 jours sur 7.
Mais j’ai sûrement eu tort. Il y avait sûrement dans la profondeur, de la douleur et de la souffrance, le temps du deuil et de la compassion. Je m’en rends compte aujourd’hui fortement. Pour cela, je veux vous demander pardon. »
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L’audience de ce lundi sera consacrée à la déposition de Thierry Lataste, ancien préfet de Vendée. | Philippe Cochereau
L’audience reprend à 14 h avec la déposition de l’ancien préfet de Vendée, Thierry Lataste.
Le procès reprend ce lundi, à partir de 14 h, au centre de congrès des Atlantes des Sables-d’Olonne. Pour cette troisième semaine, de nombreux témoins seront appelés à la barre, pour mieux cerner le rôle de l’État avant le 28 février 2010. À commencer cet après-midi, par Thierry Lataste, ancien préfet de Vendée, cité par les parties civiles. Avant la tempête Xynthia, il s’était heurté à la résistance d’élus locaux lors de l’élaboration du Plan de prévention des risques d’inondation (PPRI). Mardi, à 14 h, le tribunal entendra le directeur d’enquête. Mercredi, à partir de 9 h, des agents de l’État se succéderont à la barre, dont Stéphane Raison, ancien chef de service à la DDE de 2005 à 2008. Au début des années 2000, il avait pointé du doigt la fragilité de la digue Est de La Faute-sur-Mer, identifiant la commune comme « la plus dangereuse du département ». Jeudi 2 octobre, le tribunal devrait entendre des pompiers. Vendredi 3 octobre, la semaine s’achèvera par la déposition du sénateur socialiste Alain Anziani, auteur d’un rapport sur la culture du risque, cité par l’ancien maire de La Faute, René Marratier.

«Une tension est tombée»: après deux premières semaines éprouvantes d’audition des victimes de la tempête Xynthia, qui a fait 29 morts en 2010 à La Faute-sur-Mer, le tribunal correctionnel va entendre à partir de lundi les premiers témoins.
Jeudi, l’audience de la semaine s’est traduite par un transport sur les lieux du drame, dans la «cuvette mortifère» de La Faute-sur-Mer (Vendée). Le 28 février 2010, les victimes y ont été piégées dans leurs maisons de plain-pied où l’eau est parfois montée plus haut que le plafond, en pleine nuit.
Ce transport, auquel finalement peu de parties civiles ont participé sur les plus de 120 de ce procès, a marqué la fin des auditions des survivants qui avaient commencé mercredi 17 septembre. Ces témoignages ont été une épreuve bouleversante, douloureusement nécessaire pour les uns mais aussi un soulagement pour d’autres.
«Moi, il y a 15 jours, je n’aurais pas pu vous parler», a avoué ainsi à l’AFP jeudi Rémy Plaire, qui a raconté à la barre, vendredi 19 septembre, une journée très lourde émotionnellement, cette nuit où sa compagne est morte à ses côtés, et où lui-même a failli ne jamais se réveiller.
«Depuis que j’ai attrapé la barre, je sens qu’il y une tension qui est tombée. J’ai dormi presque deux nuits complètes, ça fait presque quatre ans et demi que ça ne m’était pas arrivé. Je pense que ça va beaucoup m’aider», a-t-il confié à l’AFP.
Au-delà de l’émotion, ces auditions ont permis de comprendre comment ces habitants ont pu acheter des maisons à La Faute-sur-Mer, une petite station balnéaire vendéenne populaire, sans savoir à quel risque ils s’exposaient. La majorité n’était même pas informée du risque d’inondation.
Ainsi, les mesures de précaution à prendre et la conduite à tenir en cas d’inondation étaient expliquées dans un petit livret qui n’a jamais été distribué aux habitants, comme l’a reconnu la première semaine l’ancien maire de la commune, René Marratier.
– L’action de l’État en questions –
Désormais, à partir de lundi après-midi, l’audience du tribunal correctionnel des Sables d’Olonne va revenir sur des auditions plus «classiques», avec les témoins cités par les différentes parties.
Parmi eux, Thierry Lataste, préfet de Vendée de juillet 2007 à janvier 2010, actuel directeur de cabinet du ministre de l’Intérieur Bernard Cazeneuve, pourra notamment répondre aux nombreuses questions qui se posent sur l’action de l’État dans cette affaire.
Notamment sur la lenteur de la mise en place du Plan de prévention des risques d’inondations (PPRI) de La Faute-sur-Mer, dont une version partielle sera finalement imposée à la commune en 2007, mais seulement partiellement appliquée sur le terrain.
Ou encore, en 2003, cette «négociation» entre René Marratier et les services de l’Équipement pour qu’une partie de la commune ne soit pas classée en «zone rouge» inconstructible, mais en zone bleu foncé. Il devait en contrepartie prendre des mesures qui ne l’ont jamais été.
La journée de mercredi sera consacrée au témoignage du directeur d’enquête et plusieurs autres témoins vont ainsi défiler à la barre jusqu’à vendredi, dont un sénateur.
Il restera encore deux semaines ensuite dans ce procès, avec une semaine consacrée aux interrogatoires des prévenus puis, la dernière, aux réquisitions et plaidoiries.
Cinq personnes physiques, dont René Marratier, comparaissent, principalement pour homicides involontaires, ainsi que deux entreprises de construction en tant que personnes morales.
Le procès doit se terminer le 17 octobre. Le jugement sera rendu en délibéré le 12 décembre.
le 30/Mar/2020 à 09:11
Prefet de la Vendée
le 18/Mar/2020 à 12:02
Municipales à La Faute-sur-Mer : l’ancien maire René Marratier et ses colistiers n’obtiennent aucun siège (France Bleu)
le 16/Mar/2020 à 21:21
Municipales à La Faute-sur-Mer : l’ancien maire René Marratier et ses colistiers n’obtiennent aucun siège (France Bleu)
le 16/Mar/2020 à 20:58
Municipales à La Faute-sur-Mer : l’ancien maire René Marratier et ses colistiers n’obtiennent aucun siège (France Bleu)
le 16/Mar/2020 à 18:09
Les résultats du 1er tour des municipales 2020 La Faute-sur-Mer
le 16/Mar/2020 à 14:35
Municipales à La Faute-sur-Mer : l’ancien maire René Marratier et ses colistiers n’obtiennent aucun siège (France Bleu)
le 16/Mar/2020 à 12:53
Les résultats du 1er tour des municipales 2020 La Faute-sur-Mer
le 16/Mar/2020 à 12:12
Les résultats du 1er tour des municipales 2020 La Faute-sur-Mer
le 16/Mar/2020 à 07:18
Résultats partiels municipales 2020
le 16/Mar/2020 à 06:48
Résultats partiels municipales 2020
le 11/Mar/2020 à 08:05
Cérémonie de Commémoration – discours – Dimanche 1 mars 2020
le 08/Mar/2020 à 21:23
Dix ans après le drame de Xynthia, l’ancien maire de La Faute-sur-Mer en Vendée, bien que condamné, se représente (France 3)
le 08/Mar/2020 à 19:09
Cérémonie de Commémoration – discours – Dimanche 1 mars 2020
le 07/Mar/2020 à 13:13
Cérémonie de Commémoration – discours – Dimanche 1 mars 2020
le 06/Mar/2020 à 15:09
Cérémonie de Commémoration – discours – Dimanche 1 mars 2020
le 06/Mar/2020 à 03:03
Cérémonie de Commémoration – discours – Dimanche 1 mars 2020
le 06/Mar/2020 à 02:53
Cérémonie de Commémoration – discours – Dimanche 1 mars 2020
le 05/Mar/2020 à 09:01
communiqué de presse (Préfecture de Vendée)
le 29/Fév/2020 à 09:55
Dix ans après le drame de Xynthia, l’ancien maire de La Faute-sur-Mer en Vendée, bien que condamné, se représente (France 3)
le 29/Fév/2020 à 09:48
Xynthia : la vie, dix ans après la tempête (1/10) – Élisabeth, la résiliente (france bleu)
le 28/Fév/2020 à 07:19
Xynthia, 10 ans après. À La Faute-sur-Mer, le golf a remplacé les maisons disparues (Ouest France)
le 27/Fév/2020 à 11:12
communiqué de presse (Préfecture de Vendée)
le 27/Fév/2020 à 10:17
Xynthia : la vie, dix ans après la tempête (1/10) – Élisabeth, la résiliente (france bleu)
le 26/Fév/2020 à 16:32
Dix ans après le drame de Xynthia, l’ancien maire de La Faute-sur-Mer en Vendée, bien que condamné, se représente (France 3)
le 26/Fév/2020 à 07:47
Dix ans après le drame de Xynthia, l’ancien maire de La Faute-sur-Mer en Vendée, bien que condamné, se représente (France 3)
le 23/Fév/2020 à 20:25
Dix ans après le drame de Xynthia, l’ancien maire de La Faute-sur-Mer en Vendée, bien que condamné, se représente (France 3)
le 23/Fév/2020 à 18:36
Dix ans après le drame de Xynthia, l’ancien maire de La Faute-sur-Mer en Vendée, bien que condamné, se représente (France 3)
le 22/Fév/2020 à 17:26
Dix ans après le drame de Xynthia, l’ancien maire de La Faute-sur-Mer en Vendée, bien que condamné, se représente (France 3)
le 22/Fév/2020 à 08:06
Allez simple pour le maire de La Faute sur Mer (Ouest France)
le 22/Fév/2020 à 07:48
Xynthia : la vie, dix ans après la tempête (1/10) – Élisabeth, la résiliente (france bleu)